lundi 30 octobre 2017

La vie culturelle et artistique à Paris en 2017


Quel art et quelle culture à Paris ? Quelles créations ? L'art oui peut-être mais l'art contemporain pour ce qui est de la création, c'est-à-dire un art qui n'est pas intemporel, donc qui n'a aucune valeur, en dehors de sa valeur matérielle. Quelle culture ? De l'idéologie oui, mais de culture vivante il n'y en a plus guère. Les baby-boomers, encore eux ! ont reçu un héritage issu de 1500 ans d'histoire chrétienne en France, pour la plupart ils ont fait le choix de ne rien transmettre à leurs enfants, au nom de plusieurs impératifs liés à mai 68. D'abord "jouir sans entraves", appliqué à la lettre par certains, cet impératif rend caduque toute transmission, car élever un enfant est une contrainte, dont certains baby-boomers ne se sont pas embarrassés. Je veux bien reconnaître que pour la plupart heureusement le bon sens l'a emporté sur le dogme "révolutionnaire" issu de mai 68. 
Ensuite "il est interdit d'interdire !", or l'accès à la culture, la véritable culture, ne peut se faire sans interdits, sans efforts et même sans sacrifices en vue d'atteindre un objectif. La culture n'est pas un donné, c'est quelque chose qui s’acquiert, il en va de même pour l'identité d'ailleurs qui est le dernier bastion psychologique avant la folie pure. Comme elle fut le fruit en Occident de 1500 ans de christianisme, elle ne peut s'acquérir en faisant l'économie d'un minimum de règles qui structurent le christianisme. Or le christianisme et même plus encore le judaïsme qui constitue aussi une part importante de la culture occidentale, sont truffés d'interdits. Afin notamment dans le judaïsme d'atteindre la pureté par le respect très strict de la loi, et dans le catholicisme d'atteindre la grâce, par le respect de l'esprit de la loi.
Les Juifs, qui ne se sont jamais amusés à être déicides, et conservent dans leur culture vivante les traces d'une spiritualité religieuse, y compris dans leur philosophie contemporaine, se portent globalement beaucoup mieux psychiquement, malgré le traumatisme de la Shoah, que les descendants de catholiques, qui ont subi dans leur culture des traces de destruction massive. Un ethno psychiatre tel Tobie Nathan, si il voulait être pertinent devrait aussi bien s'intéresser aux populations de souche déracinées culturellement, de leur culture d'origine catholique, que des migrants d'Afrique subsaharienne. Mais venir en aide aux migrants est gratifiant narcissiquement, répond à l'impératif moral diffus dans la société post soixante-huitarde, et est de surcroît à la mode pour les plus vaniteux. Alors que s'occuper du cas que constitue 11 millions d'électeurs principalement de souche, qui votent pour le FN, est vécu comme un fardeau insurmontable, pour lequel on doit se mettre des pincettes sur le nez, pour ne pas être contaminé par cette idéologie "moisie", de la France "moisie", mais passons !
Ces traces de destruction massive,  on les trouve d'abord à cause de 1789, qui fut une révolution bourgeoise, déicide, régicide et foncièrement athée, certes servie par la colère du peuple mais sachant que ce dernier fut instrumentalisé par une bourgeoisie cultivée et idéologiquement très puissante contre la noblesse et le clergé. Bon gré mal gré, beaucoup de provinciaux et même de parisiens conservèrent des coutumes liées à l'esprit de la religion catholique, ce fut le cas notamment et particulièrement dans une région reculée comme la Bretagne qui avait conservé intact l'esprit du catholicisme jusque dans les années 70 dans certains villages, mais je pense qu'il y a beaucoup d'autres exemples. Enfin passons ! Mai 68 a achevé en tout cas l'œuvre de 1789, d'une façon non violente physiquement, mais énormément moralement, sur les derniers bastions de résistance au matérialisme porté par l'idéologie libérale, théorisée par Adam Smith il y a un peu plus de 200 ans, et par une spiritualité d'origine protestante, d'origine calviniste plus précisément, qui lui est antérieure d'environ 200 ans. Quand je dis derniers bastions, il s'agit de bastions psychologiques, supports en même temps de l'identité, qui est bien la dernière digue avant la folie. Mais aussi de bastions moraux et spirituels, qui contribuent à forger l'identité d'une nation. Mai 68 a participé à la destruction de la souveraineté de la nation, que dans un geste vain et désespéré le général de Gaulle avait tenté de rétablir, contre l'avis d'ailleurs de certains des Alliés libérateurs du nazisme en Europe. De Gaulle fut un épiphénomène dans un lent processus de destruction à l'œuvre en France depuis 1789, et auquel mai68 a porté un coup fatal, à savoir à la souveraineté, qui n'est pas seulement politique et nationale, mais aussi religieuse, artistique, culturelle et morale.
Un tel matérialisme d'origine libérale, qui n'a plus aucune signification spirituelle pour la plupart des habitants de la planète, se répand dans le monde tel un virus menaçant. Encore une fois, on peut voir le verre à moitié plein : cette spiritualité calviniste théorisée en idéologie libérale par Adam Smith, est aussi vectrice dans le monde entier de l'innovation et du progrès. En France certains intellectuels pour se consoler peuvent mettre en valeur l'apport français dans la construction de l'idéologie libérale, qui n'est pas mince, et qui consiste surtout en une contribution concernant l'élaboration d'un libéralisme politique. Mais quid de la culture et de l'art aujourd'hui en France et plus particulièrement à Paris ? Wauquiez met en avant et pertinemment la dichotomie entre une vie culturelle et artistique parisienne qui repose désormais entièrement sur l'idéologie, et plus particulièrement l'idéologie antiraciste, et une vie culturelle et artistique provinciale, qui reposerait encore sur les coutumes ancestrales et la religion. Evidemment c'est aussi une part de fantasme émanant de Wauquiez, car plus de 200 ans en France de lente érosion de tout ce qui faisait notre identité et notre souveraineté politique, morale, culturelle et artistique, a été achevé par mai 68, dans le prolongement de 1789, pour ce qui est de l'esprit déicide, régicide et athée, y compris en province et pas seulement à Paris.
Régicide aussi dans le cas de mai 68, car il s'agit alors de décapiter symboliquement le père de la nation qu'était de Gaulle, et de porter atteinte à sa Constitution du 4 octobre 1958, qui avait rétabli un peu d'esprit monarchique dans la République. La province n'a pas beaucoup plus d'âme, voire pas du tout plus, que Paris, par contre de Gaulle en avait une, alors que Wauquiez a raison de dire que Macron n'en a pas. Les parisiens sont plus atteints par l'idéologie antiraciste et en sont souvent les hérauts les plus virulents, cependant les provinciaux le sont aussi, mais de façon moins ostensible et plus passive. Il y a une différence de degré entre les deux, et pas de nature comme voudrait nous le faire croire Wauquiez. De plus la contre-offensive "réactionnaire" pour l'opposer au discours des progressistes, vient aussi de Paris. Idéologie "néocon" disent certains, qui elle pour le coup comporte une différence de nature avec l'idéologie antiraciste, multiculturaliste et cosmopolite, en voulant rétablir l'héritage de 1500 ans de culture occidentale chrétienne mâtinée de judaïsme, dans l'éducation des enfants. Alors que les progressistes se battent pour faire table rase de tout notre passé honteux, se tournent uniquement vers l'avenir, et jettent ainsi le bébé art et culture avec l'eau du bain raciste, esclavagiste et colonialiste.
Je sais qu'une infime minorité est passée certainement à travers les gouttes du nivellement matérialiste, et a encore à n'en pas douter une vie riche esthétiquement et culturellement, héritière de 1500 ans d'arts et de culture chrétiens. Mais globalement au nom des idéaux de mai 68, tel "l'imagination au pouvoir !", la génération des baby-boomers n'a rien transmis à ses enfants, si ce n'est le fruit de son imagination délirante, et que "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil". Cela se traduit par l'idéologie antiraciste, mais qui fait aussi le terreau fertile de l'extrémisme, tel l'islamisme. L'islamisme à travers les attentats de Charlie a d'ailleurs fait un pied de nez ironique et en même temps tragique, à l'idéologie de mai 68, dont les dessinateurs et journalistes de Charlie étaient les héritiers directs et emblématiques. La jolie idéologie multiculturaliste et cosmopolite dans l'idéal, a accouché d'un monstre dans la réalité : l'islamisme, dont les premières victimes furent les plus fervents antiracistes canal historique, à savoir les dessinateurs et journalistes de Charlie.
Pour la plupart, quand il furent sains, les baby-boomers transmirent à leurs enfants le culte de l'idéologie antiraciste notamment. Mais beaucoup furent carrément indifférents à leur progéniture, sans fil directeur pour l'élever. Enfin pour une minorité non négligeable, "l'imagination au pouvoir !", fut avant tout l'imagination de faire le mal, notamment sexuellement, en tout impunité et dans l'indifférence quasi générale : c'est la part d'ombre de mai 68... 


samedi 28 octobre 2017

Pasolini, Cassandre moderne


Les Français et plus généralement les Européens, ne savaient pas que l'enchantement de leur monde commun, monde commun qui était par ailleurs la condition de possibilité de cet enchantement, avait une racine chrétienne et plus précisément catholique pour ce qui est de l'enchantement, car le calvinisme allait déboucher sur l'aporie capitaliste c'est-à-dire matérialiste dans laquelle nous nous trouvons.
L'immoralité et non pas seulement l'amoralité impliquée par le matérialisme finissant par détruire toute idée de décence commune c'est-à-dire de morale impliquée par le catholicisme. En se coupant de cette racine religieuse qui était aussi la racine de l'Esprit des Lumières, ce que n'ont pas assez senti des philosophes comme Diderot ou Rousseau, le Réel est devenu sordide, glauque et ultra-violent, alors que nos philosophes des Lumières pensaient naïvement qu'il allait déboucher sur un "matérialisme enchanté".
Ils ont sous estimé la part d'ombre de la nature humaine, ils ont péché par excès de confiance et d'optimisme, par un genre d'arrogance hélas propre à la plupart des philosophes. Type anthropologique très particulier qui a toujours refusé de rentrer dans le rang, et qui nous fait payer à tous collectivement les excès de son arrogance.
Espèce très particulière, admirable certes, que celle des philosophes, mais elle-même en voie de d'extinction sous l'effet de la disparition du monde commun qui était la condition de possibilité de l'enchantement ; alors que le "matérialisme enchanté", ce soi-disant Esprit des Lumières, on l'attend toujours et qu'il ne viendra jamais.
Mais nos contemporains ont recouvert ce Réel qu'ils ne sauraient voir, comme Tartuffe demandant que l'on cache ce sein qu'il ne saurait voir, du voile "pudique" de l'idéologie, fut-elle à leurs dires anti-raciste, afin de le cacher à leurs yeux et qu'ils puissent continuer à vivre dans un pseudo confort moral, alors que tous les signes d'un déclin civilisationnel, sexuel et moral irréversible, sont là pour les inquiéter. Or le masque de l'idéologie n'est jamais beau, ni même décent, il est toujours hideux et menaçant, mais je veux bien admettre qu'il soit la condition de survie psychique de nos contemporains.
Mais eux refusent de se laisser inquiéter par la laideur et la violence qui les submergent et préfèrent continuer à vivre dans le Déni, plutôt que de périr dans la Vérité. Car tel est bien le danger que fait courir la Vérité, mener à sa perte par le désespoir que constitue la lucidité. Le destin tragique de la Vérité est bien souvent, tel pour Cassandre ou pour Pasolini, Cassandre moderne, la mort tout simplement.
Le communisme fut créé en réaction à l'injustice impliquée par les effets du capitalisme, mais il déboucha sur un cuisant échec, car il fit sa raison d'être du développement des moyens de production pour le développement des moyens de production sans autre finalité, si ce n'est de rattraper son retard économique sur les pays capitalistes. Plutôt que de se soucier de justice et du bonheur des peuples comme ce fut sa vocation originale et originelle.
Comme le communisme se fut rapidement dévoyé et fourvoyé hors de sa vocation d'origine, il se trouva promis à générer une injustice pire que celle qu'il prétendait combattre et qui était celle par essence du capitalisme, qui lui n'a jamais eu la mauvaise foi de s'en cacher et qui est contenue dans ses prémisses adam smithiennes de culte du vice privé et de l'égoïsme intime, cause selon elles de toutes les vertus publiques, de toute prospérité.
La question qui reste aujourd'hui posée est, de l'égoïsme ou de l'altruisme qu'est-ce qui est le plus conforme à la nature humaine ? 1500 ans de civilisation chrétienne plaident en faveur de l'altruisme. Seulement 250 ans de civilisation libérale, capitaliste et industrielle, pourraient sembler devoir plaider en faveur de l'égoïsme. Là on ne peut pas encore porter de jugement définitif, il y en a qui ne jurent que par l'innovation et le progrès, donc qui voient le verre à moitié plein, et d'autres qui constatent les conséquences catastrophiques sur le type anthropologique que constitue l'Homme et sur l'environnement de ce culte de l'égoïsme, donc qui ne voient que le verre à moitié vide.
Et aujourd'hui, à travers les baby-boomers incarnés par Macron, cette génération à nulle autre pareille et dont mai 68 en France constitua l'acte de naissance, le rêve siliconien et libéral-libertaire de toute-puissance matérielle et temporelle, consistant dans le projet transhumaniste d'immortalité et de jeunesse éternelle, dans la continuité de 250 ans de civilisation libérale, capitaliste et industrielle, dont la racine est historiquement anglaise encore plus que française. Ce n'est pas pour rien qu'en France les baby-boomers et leurs émules parmi leurs enfants sélectionnés et élus, aient choisi comme représentant une icône de la jeunesse dorée comme Macron.

mercredi 4 octobre 2017

L'argent va à l'argent


"L'argent va à l'argent et rien ne peut le fixer quelque part (du moins dans un régime démocratique)". Donc on ne peut rien contrôler concernant l'argent, et l'enrichissement illimité est autorisé, voire favorisé. 45 milliards d'euros pour l'homme le plus riche de France, Bernard Arnault, soit à lui tout seul le PIB d'un pays comme la Bulgarie, et encore à lui seul, 1/50 ème de toute la richesse produite en France. Dans ce cas là que l'on cesse de contrôler la vitesse pour les automobilistes, que l'on cesse de contrôler les horaires des travailleurs, que l'on cesse de contrôler l'usage de drogues ou le trafic des armes... L'injustice et l'inégalité liées à l'enrichissement d'une infime minorité qui a tous les droits et privilèges au détriment d'une majorité laborieuse et sans cesse contrôlée, est absolument incompatible avec l'idée de démocratie, et à la limite rend légitime le crime et le vol à l'encontre de cette infime minorité ou pour s'y introduire, comme le montre le film Match Point de Woody Allen.
A moins d'admettre que cette infime minorité a tous les pouvoirs, et dans ce cas là appelons un chat un chat, nous ne vivons pas en démocratie mais en oligarchie.

Nous ne pouvons rien contrôler, ni fixer concernant l'argent, car nous vivons sous un régime libéral économiquement, je ne sais pas si réellement il est libéral politiquement. Il n'y a qu'à visionner le journal de 20h00 sur le service public pour constater qu'on y parle pratiquement exclusivement que d'argent, sauf lorsqu'il y a des attentats. Nous vivons sous un régime qui autorise toutes les libertés concernant l'enrichissement, car précisément tout le système fonctionne grâce à l'enrichissement de quelques uns, et ceci a une racine calviniste, théorisée ensuite par Adam Smith sous sa forme la plus pure appelée libéralisme économique, néolibéralisme si l'on veut depuis les années 80. Tout l'excédent de forces dégagé par notre société occidentale mondialisée au monde entier, comme toute société y compris traditionnelle dégage un excédent de force, qui nous vient directement de l'énergie du soleil à l'origine de toutes nos richesses terrestres, est destiné à l'accumulation de richesses pour l'accumulation de richesses sans autre finalité. Toutes les autres conséquences politiques ou morales, éventuellement une forme de liberté si l'on veut (mais peut-on réellement parler de liberté quand on peine constamment à joindre les deux bouts ? Liberté formelle oui, liberté réelle, non), découlent désormais de cette racine commune que plus rien ne vient réguler. Il faut qu'il y ait des guerres et leurs dégâts pour que se pose a posteriori la question du partage des richesses, de la redistribution, pour que cela n'arrive plus nous dit-on.
Mais les Hommes oublient vite, et comme la racine du progrès dans les pays occidentaux est ce mode d'accumulation des richesses, purement égoïste, inégalitaire et injuste, eh bien au bout d'un moment "le naturel revient au galop" et l'enrichissement des sociétés ne se fait plus que par l'intermédiaire de très rares élus, comme au XIXème siècle. De démocratie formelle on retombe dans l'oligarchie réelle. Oubliée l'idée de redistribution. Pourtant ce sont bien cette injustice et cette inégalité réelles, quand la liberté n'est plus vécue que formellement, qui sont la cause des guerres depuis notamment l'avènement du capitalisme dans nos sociétés occidentales, soit depuis la Révolution française, mais plus intimement encore depuis en réalité la Révolution anglaise de 1688, qui pose les bases de la révolution industrielle survenue un demi-siècle plus tard. Depuis donc à peu près 1750, tous les pays du monde vont venir s'aligner sur cette idéologie de l'enrichissement théorisée par Adam Smith sur la base de l'égoïsme, de la cupidité, et de la non coopération des personnes entre elles. De tels principes sont en réalité contraires à la nature humaine, plus naturellement portée à l'altruisme et à la coopération qu'à l'égoïsme. Mais nos chers protestants puritains anglo-saxons, sans avoir eu connaissance des conséquences catastrophiques de leurs principes sur l'humanité, en auront décidé autrement pour notre malheur à tous.
Quant au communisme la cause majeure de son échec est le retard qu'il avait depuis le début sur le capitalisme et non dans l'inefficacité de ses principes, et c'est pour rattraper trop vite son retard que cette idéologie a fait des millions de victimes. Je ne pense pas que des idéaux comme la générosité et le partage des richesses soient intrinsèquement vecteurs de massacres, alors que l'égoïsme et la rapacité seraient porteurs de positivité pour le genre humain, même par l'action d'une "main invisible", ou encore de "vertu publique". Non, il faut remettre la vérité à l'endroit, le capitalisme et son égoïsme intrinsèque, son esprit de rapacité, bénéficient d'un avantage historique c'est tout. Ils partent du XVIIIème siècle concernant la mise en œuvre de la révolution industrielle, alors que le communisme partait du XXème siècle. Trop de retard à rattraper, il n'y a en réalité pas d'autres explications honnêtes à l'échec du communisme. Maintenant il est discrédité certainement pour toujours pendant que les cupides prospèrent, jusqu'à la prochaine guerre civile en France ?
Guerre civile que certes l'islamisation forcée de la société ne ferait que précipiter, mais sans nous voiler la face que c'est le libéralisme économique qui aboutit toujours à des formes de conflits qui s'exacerbent dans des guerres.