Le dessin semble indiquer que
malgré les changements de régimes politiques nous sommes dans l'éternel retour du même :
la violence faite au peuple.
Nous sommes dans un paradigme
technoscientifique au sein d’une société ouverte libérale-libertaire et non
plus artistico-religieux sous un régime absolutiste, qui générait pour le
peuple et surtout pour les philosophes des Lumières et scientifiques assoiffés
de savoir et de conquêtes, de l’arbitraire insupportable pour leurs idées novatrices
et leur volonté de puissance issue de leur haute estime d’eux-mêmes...
Je ne suis pas très sûr que le
peuple y ait gagné au changement, et même suis plutôt persuadé du contraire !
Le mouvement des gilets jaunes notamment de nos jours exprime très bien cette
impression. Non pas que j'ai la nostalgie du régime absolutiste car je ne l'ai
pas du tout connu. Mêmes causes, et espérons-le mêmes conséquences que sous
l'Ancien Régime, le peuple porte le poids de l'avidité de ses élites au service
non plus de l'absolutisme, mais de l'oligarchie.
Macron c'est la droite extrême
sur les questions sociales (aucune redistribution, aucun partage mais juste de
l'échange entre fortunés), et le centre voire même plutôt la gauche marxisante
pour les questions sociétales. Cette gauche morale que l'on sert en pâture aux
électeurs, comme une belle vitrine de pureté éthique pour qu'ils votent bien.
Stallone était le gendre idéal
dans les années 80 (et pas encore Macron qui n'avait que trois ans !) car Rocky
avait tout compris, il devient riche à force de travail et d'efforts si bien
qu'il est accepté par la ploutocratie ; et il est antiraciste et politiquement
correct, il a des amis noirs. Rambo c'est la politique extérieure : il est un
peu plus douteux surtout avec les "niakoués" et les
"bicots" qu’il extermine sans états d’âme ; il était le poète et le
précurseur de nos dirigeants occidentaux, surtout outre-Atlantique.
« L'Homme ne partage ni ne donne,
il échange. » Je veux bien souscrire à ce postulat énoncé différemment par Adam
Smith et il en fait même le propre de l'Homme (le « doux commerce »), mais pas aux conséquences du libéralisme sur les rapports humains que je
prétends nocives.
En renonçant à l'Éducation depuis
au moins 40 ans et en la sacrifiant (c'est-à-dire les enfants et la jeunesse) à
des intérêts économiques, le régime libéral-libertaire de Macon dit bien de
quoi il est le nom : la pulsion de domination et le mépris des faibles dans un
mouvement qui va crescendo depuis au moins 1983.
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