jeudi 10 décembre 2020

Petite transgression en période de confinement...

Ma femme a senti le bon filon pour se débarrasser de moi, elle m'a accusé de violences et de viol (il y aurait eu une relation sexuelle sans son consentement, je ne m'en suis pas rendu compte car elle me l'a dit après coup), les gendarmes, le proc et ses substituts, les juges ont gobé et j'ai fait six mois ferme pour ça. Il y a plutôt une culture de chasse aux sorcières aujourd'hui, et la cible c'est quand même l'homme blanc de plus de 50 ans.

Elle me disait juste qu'elle voulait divorcer depuis environ un an et refusait depuis la même date tout rapport sexuel, sans vraiment que je m'en explique la raison après 17 ans de vie commune, sinon que tout d'un coup, tout ce qu'elle avait aimé en moi s'était transformé en objet de sa haine assez soudainement je dois dire. Je n'ai pas vraiment vu le coup venir, car elle est très pragmatique et a su saisir l'occasion par les cheveux. J'ai aussi très mal réagi face au gendarme qui avait accepté de prendre sa plainte, il m'a provoqué verbalement, et a cherché à m'humilier devant mes enfants, en disant qu'il voulait aussi ajouter une plainte contre moi pour une raison obscure car j'avais déjà eu affaire à lui au sujet de mes parents qui portent aussi plainte contre moi (parce que j'accuse mon père d'attouchements sexuels et ma mère de maltraitances, sur un blog), alors je l'ai bousculé ; j'aurais pas dû faire ça, grave erreur ! 6 mois de prison ferme, 72 heures de garde à vue, 3000 euros d'amende, interdiction de retourner chez moi donc SDF, sans doute la perspective d'être déclaré par l'Éducation nationale inapte à mon métier de prof, bref une vie de misère en perspective. J'ai gravement morflé !

Je suis victime de la "justice" des boomers !... du néoféminisme qui gangrène le système judicaire et de la chasse aux sorcières qui poursuit les hommes blancs de plus de 50 ans. Alors que les boomers crèvent de la COVID ou d'autre chose ?

Au secours ! J'avais une maison avec vue sur la Vilaine, une femme, 3 filles, un chien, un chat, un salaire... Et je n'ai plus rien, j'ai le cul à l'air... Help ! Je n'ai pas mérité un destin si funeste, ce n'est pas ma faute, ni celle de ma femme, si influençable. Alors Qui ? Je suis certainement victime de moi-même et de mon absence de limites. Je demande même pardon à ma femme qui ne m'a pas compris, moi, mon discours, mes actes ; même si je crois, mais je peux me tromper, que cela ne méritait pas de faire 6 mois de prison ferme, ni d'être réduit à rien pour le restant de mes jours. Je suis aussi victime de la Justice de mon pays, je suis victime de "l'État de droit" !

Une bien mauvaise métamorphose ! Merci Caro ! Et merci encore au gendarme Bersot d'Allaire, au procureur Touron de Vannes, et à la JAP Céline Bureau, trois saloperies totales issues du système judiciaire français, soumis à l'idéologie néoféministe... Je déteste les magistrats, la pire engeance de psychopathes sur la Terre, bien plus dangereux et inhumains que les gens qu'ils sont censés condamner !

Une heure du matin, seul avec moi-même : perspective de suicide aux benzodiazépines... Mais y en a-t-il assez ? Humilié, abandonné pendant 6 mois aux mains de mes geôliers, 72 heures de garde à vue, paroles méprisantes et infantilisantes des magistrats, traité par ma femme pire que le chien, qui a le droit, lui, de rentrer dans ma maison... Pays des droits de l'Homme, je m'interroge... Ou alors en considérant que la femme est l'avenir de l'homme, au fond plus docile et productive au sein d'un système libéral-libertaire prônant l'autonomie de la femme et le métissage ethnique comme seul horizon, via les réclames...

Jour 5 après ma sortie de prison : internement en hôpital psychiatrique sur signalement de ma femme... Après 6 mois de prison, cela ne suffisait pas.

Ce que je redoutais le plus est arrivé : le divorce s'accompagnant du déchaînement de violence que je lui connais, quand elle a décidé d'abattre un ennemi à qui plus rien ne la lie... Alors que moi, j'ai des sentiments et des scrupules.

Combat assymétrique et perdu d'avance...

Je crois que dans sa tête je ne suis même plus le père de ses filles. Je suis juste un nuisible qu'elle écrase comme un cafard.

Dans sa tête une âme de flic qui rêve de matraquage. Elle ne s'adresse d'ailleurs pour me punir et sans dialogue, qu'à des flics...

Ma femme est comme ça : quand elle se met une idée dans la tête, elle va jusqu'au bout. Peu importent les énormes dégâts collatéraux !

Elle m'avait dit il y a deux ans qu'elle ne m'aimait plus mais qu'elle avait encore de l'affection, parce-que j'étais le père de nos deux filles. Heureusement qu'elle avait encore de l'affection, sinon qu'est-ce que j'aurais pris !

Après des années de confort douillet petit-bourgeois, je suis enfermé dans un logement d'urgence glauque qui sent un mélange de pisse de chat et de moisi incrustés, sans aucune ressource hormis les restos du cœur. Triste retour au réel, au dénuement. J'ai gravement merdé, c'est ce qu'on appelle un instinct d'autodestruction. Seul avec moi-même et des pensées morbides, j'ai la trouille que la gendarmerie vienne me chercher pour me ramener en prison dès qu'une portière de voiture claque dans la rue.

Qu'est-ce que j'ai fait au fond ? Bousculer un gendarme et l'outrager, toujours le même à venir chez moi pour la moindre embrouille avec ma femme. Il m'avait pris en grippe quand il a vu des livres chez moi ; j'ai eu à ses yeux la mauvaise image de l'"intellectuel" de "gauche" (bof ! La gauche ne fait plus bander) et contestataire (ça oui, contestataire !): un petit complexe d'infériorité du fonctionnaire de police face au fonctionnaire de l'éducation ?

Attendre la décision du comité d'experts médicaux et de l'inspection académique : radié ou non ? Avec la déchéance imposée par la Justice, difficile de garder un aspect présentable. Déshumaniser pour mieux détruire, c'est la logique décrite par Robert Antelme dans L'espèce humaine. Privé de "chez-soi" est une grave aliénation pouvant conduire à la folie ou des actes désespérés...

Mes parents boomers et privilégiés triomphent, ils ont leur vengeance (ma mère me pousse subtilement au suicide...), qui est finalement venue par là où je ne m'y attendais pas. Ma femme qui jusqu'il y a deux ans, était encore une alliée indéféctible.

Je n'en veux même pas à ma femme car elle a sans doute été victime de pressions familiales ; plus ou moins conscientes, sous-jacentes. De la part de sa famille, de ma mère...

J'en veux à mon père, Robert Blesbois, car c'est un pervers narcissique aux pulsions pédophiles et incestueuses, brutal et criminel, qui m'a laissé sur le bord de la route quand j'avais 18 ans.

J'en veux à ma mère, Colette Blesbois, qui ne manque pas de ressources et qui pourtant ne m'apporte aucun secours. Pourquoi ? C'est une femme qui comme mon père est abandonnante. À force de raconter mon histoire familiale à ma femme, elle l'a répétée à mon égard comme l'avaient fait mes deux parents avec moi. À croire que j'ai un don pour être laissé de côté, abandonné. Je ne jette surtout pas la pierre à ma femme, avec un vécu si lourd j'ai fini à ses yeux par me rendre insupportable. Et je reconnais qu'il y a une part d'instinct d'autodestruction dans ce qui m'arrive. L'histoire ou le destin s'acharne sur ceux qui ont eu une mauvaise enfance, et se répète. Je crois depuis que je suis tout petit que mes parents m'ont considéré comme le bouc-émissaire de leur relation pourrie.

Ma mère pourrait me venir en aide mais elle ne le fait pas, si j'ai bien compris elle espère que je me suicide pour se soulager d'un poids qui a entravé sa jouissance, depuis que je suis tout petit elle m'interdisait que je l'appelle maman.

Une femme vénale et profondément égoïste qui ne sait pas ce qu'est l'amour, et qui considère les hommes comme un intrument de plaisir, noirs et bien membrés de préférence.



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