dimanche 18 avril 2021

La destruction de la famille occidentale



Vous me faites tous bien rigoler avec vos idées progressistes sur les vertus de la psychanalyse. Bien sûr je ne prétends pas universaliser mon cas singulier, mais dans mon cas singulier la psychanalyse est une plaie amorale et anti-civilisationnelle.

Je m'explique : est-ce que c'est du sadomasochisme d'avoir été considéré par ses parents comme leur bouc-émissaire ? Ou un constat d'absence de toute idée de civilisation (basée forcément sur la religion et le sens du sacré) ayant pu leur servir de garde-fou. Mes parents n'ont pas été anormaux, ils ont été radicaux dans la recherche du plaisir et de la jouissance, et la société des baby-boomers les y autorisait. Ils ont juste été un peu plus originaux et excessifs que la moyenne mais sans enfreindre aucune règle finalement ; ils ont respecté la loi de leur époque étant profondément amorale, voire désormais de plus en plus immorale et cruelle comme celle des Romains des jeux du cirque (dominée par les pervers comme le prédit Dany-Robert Dufour). Pour la petite histoire ma mère est psychanalyste et par l'héritage de ses parents, bourrée de pognon : elle peut donc assouvir à 75 ans tous ses caprices de domination vis-à-vis de jeunes éphèbes noirs de Guadeloupe, car il n'y a que ça qui l'excite sexuellement : la domination sur les hommes et leurs verges qu'elle désire énormes (fantasme de freudienne vaginale ne connaissant pas assez son clitoris pourrait-on dire). De toute façon elle sait bien que dieu n'existe pas alors qui la punira ? Elle n'éprouve absolument aucune culpabilité et éprouve du plaisir à me « tuer », c'est-à-dire me torturer psychologiquement par l'humiliation, à chaque fois que je la vois ou bien l'ai au téléphone. C'est bien pire qu'une vieille bique, car son statut professionnel et son carnet d'adresses bien rempli lui donne une très bonne réputation et un très grand pouvoir sur autrui, puisqu'elle continue aujourd'hui à exercer dans un superbe appartement haussmannien des quartiers bobos et huppés de Paris.

Difficile maintenant pour moi de trouver une femme avec un tel profil de loser. Et ma femme vient de me lourder avec pertes et fracas en me faisant mettre en prison sans grandes difficultés (voire avec une très grande facilité !), avec l'aide de la justice française dans un état de décadence totale et sans aucune valeur morale, et s'estimant (ma femme) dans son bon droit alors qu'elle fait preuve de la mauvaise foi la plus totale ! Franchement je ne donne pas cher de l'avenir de notre société basée sur la liberté, l'égalité et la fraternité (ce ne sont que des mots qui reposent sur du vent), mais peut-être que je me trompe ?

L'islam va nous manger et nous l'avons tous bien « mérité » collectivement. Cependant même l'islam est aujourd'hui en danger : pour les wahhabites aussi l'argent est une fin, car c'est une idéologie basée sur l'égoïsme tout comme le néolibéralisme. Poutine, la Chine, des pays d'Amérique latine se défendent de la destruction des valeurs traditionnelles, contrairement à des pays comme la France, surtout, qui détruit ses églises et se plaint de quelques tags sur les mosquées !

C'est le libéralisme qui a commencé à tuer la tradition occidentale, et donc notre civilisation reposant traditionnellement sur le sacrifice et le sacré. Le néolibéralisme a commencé à tuer la tradition musulmane en injectant le wahhabisme partout dans le monde, car il faut bien voir que c'est un outil du néolibéralisme.

On est bien d'accord, dans le néolibéralisme, que la fin qui est l'argent justifie les moyens (une idée de la fin qui justifie les moyens remontant à Machiavel et que Mandeville a recyclé dans le domaine économique : le premier jalon du néolibéralisme actuel) ; contrairement aux religions où la fin est globalement la reproduction de l'espèce au sein de la civilisation soutenue par les traditions grâce notamment au respect de la famille engendrant et soutenant l'amour maternel. C'est tout le nihilisme de ce système anti-civilisationnel selon moi car basé sur le calcul et le cynisme, qui a totalement détruit la famille occidentale ; qui n'épargne pas les femmes blanches et même au contraire les ont rendu cyniques et vénales (bien plus encore que les hommes occidentaux), bien pires encore que les femmes de l'aristocratie romaine décadente, globalement incapables de tout amour maternel, et de donner tout type de soin à leur progéniture (dans le cas de plus en plus rare où elles font encore des enfants, désormais comme un caprice, ou au mieux comme un désir justifié par la théorie psychanalytique). Selon moi c'est aux hommes de reprendre les choses en main, de rétablir des traditions de filiation, aussi bien en Occident, qu'en Orient ; si nous voulons défendre nos civilisations afin qu'elles ne se détruisent pas mutuellement à cause des femmes et de leurs vices, bien plus puissants que ceux des hommes.

Oui de mon expérience personnelle je peux dire que les femmes sont désormais beaucoup plus destructrices encore et dangereuses que les hommes, car c'est toute la société et l'anthropologie occidentale qui les y encouragent, s'en remettant à elles et à leurs désirs sexuels débridés comme à un dernier espoir de salut : ce qu'on appelle le féminisme.

Or nul espoir de salut par les femmes en Occident ni nulle part ailleurs, car tout comme les hommes elles sont néoténiques. L'amour maternel chez les humains est une construction de la civilisation, sans civilisation il disparaît. L'espèce humaine n'est pas une espèce comme les autres, là est tout le problème. C'est un néotène qui a besoin d'un crime fondateur (celui du bouc-émissaire) pour se réconcilier socialement : c'est la base de la civilisation - qui je le répète ne peut reposer sur la psychanalyse (ou toute autre forme de thérapie), étant amorale par essence. Sans réconciliation fondatrice (comme par le sacrifice du Christ), il n'y a plus de civilisation reposant sur la morale, ni d'amour maternel : c'est ce que nous voyons aujourd'hui un peu partout surtout chez les femmes blanches privées à peu près de toute forme de tradition, en Occident décadent et nihiliste.

Voilà pourquoi la civilisation musulmane (même si elle comporte des failles comme le wahhabisme) est désormais supérieure à notre « société » individualiste purement matérialiste qui ne mérite même plus le nom de civilisation ; ni même de société puisque le slogan du néolibéralisme par la bouche de Thatcher est « no society ! ». Pas besoin d'être un grand prophète pour faire les mêmes prédictions que Houellebecq.

2 commentaires:

  1. Aïe ! Vous êtes donc en taule (vous en avez pris pour combien ? Et vous pensez pouvoir en sortir quand ?) avec un gros problème de relation affective avec ''madame votre mère''; et vous êtes apparemment frustré de ne plus être en couple avec une femme. Votre mère est une sainte, qui privilégie la diversité et branle du noir. Par ailleurs, vous êtes lucide sur votre situation, sur le féminisme, et sur l'environnement politique de notre pays. Vous vous exprimez comme un énarque ou un évêque.
    Vous posez une question ainsi : "est-ce que c'est sadomasochiste d'avoir été considéré par ses parents comme leur victime expiatoire ?" Avouez qu'elle est mal posée, dans un français approximatif ! Signe de votre confusion mentale ? Apparemment vos parents ne vous ont pas considéré comme une "victime expiatoire" car, comme vous l'expliquez de suite après cette phrase, ils étaient libres dans leur tête, hédonistes, dans une société permissive qui absolvait tous leurs faits. Ils n'étaient pas sadiques. Ils n'avaient donc rien à expier. Ils ne faisaient pas de victime(s) (vous ou vous et d'autres).
    Votre question, en la posant plus clairement, est donc : "suis-je sadomaso en croyant et affirmant de façon répétée et obsessionnelle que je suis une victime de mes parents ?"
    Si cette répétition obsessionnelle vous fait du bien, par exemple en étant à votre avis la seule occasion de vous mettre en avant, en faisant parler de vous (si vous n'avez pas d'autres "hauts faits" à vos yeux que d'être une victime), il vaut mieux cela que rien !
    Ce n'est pas grave, dans votre cas, d'être sadomaso.
    Reste à savoir pourquoi la justice a suivi les plaintes de votre femme et vous a coffré. Il doit bien y avoir un peu de vrai dans l'accusation, non ?
    Nier la vérité, la camoufler, c'est aussi du sadomasochisme. Car c'est vous préparer mentalement à réitérer, à votre sortie de taule, ce qui a motivé votre condamnation.
    Au lieu de répéter "c'est la faute des autres, de ma mère, de la société,...", remettez-vous en question et demandez-vous ce qui cloche chez vous de votre propre faute, et non pas en répétant que c'est de la faute des autres, de votre enfance, de votre éducation, de la société, etc.
    Je vous réponds comme si je ne vous considérais pas comme un mythomane.
    Faites-en ce que bon vous semble !

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    1. Vous pensez que j'ai que ça à faire, d'inventer des histoires ? Évidemment en même temps que j'ai bien cherché ce qui m'arrive ; la vie normale m'emmerde tellement.

      Il n' y a rien de vrai dans l'accusation, juste de la lassitude. Je pense qu'on aurait pu trouver une alternative, mais ma désormais ex-femme n'a aucune imagination et ce qui prédomine chez elle est l'envie du pénal (à défaut de se contenter du pénis vous l'aurez compris). Le fantasme du gros gourdin du gendarme du coin ; voilà à peu près ce qui a remplacé aujourd'hui chez les femmes blanches d'une quarantaine d'années, l'idéal hédoniste et libertaire des baby-boomers. On laisse trois filles sur le carreau.

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