Si l'idéologie des droits de l'homme aboutit au final à plus
de dégâts et de morts que la réal-politique, comme on l'a vu avec
l'intervention désastreuse notamment en Lybie, sous l'impulsion de BHL, quelle
est la valeur de cette conviction ? Sans parler de l'intervention en Irak, je
me souviens encore de Romain Goupil déclarant a priori que les soldats
américains seraient accueillis avec des fleurs, par des populations exprimant
leur gratitude pour la chute du tyran Saddam Hussein. Ah ils étaient sympas les
gars !, les nouveaux philosophes avec leur côté libertaire, soixante-huitard,
qu'ils n'ont jamais renié ; mais que de morts sur le théâtre des opérations.
Les libertaires, idéologues des droits de l'homme, en voulant en finir avec le
despotisme, qui leur rappelait trop la figure d'Hitler, ont accouché d'un
monstre ; l'islamisme radical, une nouvelle forme de totalitarisme sans doute
plus dangereux que celui de despotes locaux, que ces libertaires prétendaient
éradiquer, mais qui maintenaient un équilibre certes précaire et injuste, dans
des régions par nature instables.
Les libertaires comme Romain Goupil qui réclament à cor et à cri, la régularisation de tous les sans-papiers, ce sont eux aussi par leurs postions interventionnistes dans des régions aux équilibres fragiles ; Irak, Syrie, Lybie notamment, qui ont provoqué plus ou moins indirectement la crise de migrants, qui cherchent à fuir des régions soumises à l'anarchie et au chaos, et sous la mainmise des islamistes. Encore une des manifestations des paradoxes inextricables dans laquelle nous plonge l'idéologie des droits de l'homme, lorsqu'elle est dogmatique. Puisque ce sont quand même les libertaires par leurs prises de positions, qui ont provoqué un afflux massif de migrants, que l'on annonce pour les années à venir en hausse, ils ne peuvent pas accuser leur gouvernement (La France) et leurs opposants (le FN), d'inhumanité lorsque ces derniers s'opposent aux régularisations de masse, ou alors ces idéologues sont des irresponsables de leurs actes et des inconséquents. Ils ont provoqué un tsunami mais refusent d'en assumer les conséquences, car par un dogmatisme de leur pensée, le mal de toute façon est toujours dans l'autre camp ; raisonnement inconséquent.
Les libertaires comme Romain Goupil qui réclament à cor et à cri, la régularisation de tous les sans-papiers, ce sont eux aussi par leurs postions interventionnistes dans des régions aux équilibres fragiles ; Irak, Syrie, Lybie notamment, qui ont provoqué plus ou moins indirectement la crise de migrants, qui cherchent à fuir des régions soumises à l'anarchie et au chaos, et sous la mainmise des islamistes. Encore une des manifestations des paradoxes inextricables dans laquelle nous plonge l'idéologie des droits de l'homme, lorsqu'elle est dogmatique. Puisque ce sont quand même les libertaires par leurs prises de positions, qui ont provoqué un afflux massif de migrants, que l'on annonce pour les années à venir en hausse, ils ne peuvent pas accuser leur gouvernement (La France) et leurs opposants (le FN), d'inhumanité lorsque ces derniers s'opposent aux régularisations de masse, ou alors ces idéologues sont des irresponsables de leurs actes et des inconséquents. Ils ont provoqué un tsunami mais refusent d'en assumer les conséquences, car par un dogmatisme de leur pensée, le mal de toute façon est toujours dans l'autre camp ; raisonnement inconséquent.
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