Macron est le nom du libéral-libertarisme décomplexé, un
mouvement qui trouve son origine dans le libéralisme tel que défini par Adam
Smith, qui lui-même (le libéralisme) trouve des origines plus spirituels dans
le calvinisme. Un mouvement au départ purement libéral économiquement et qui
s'est "enrichi" d'un volet libertaire, "emprunté" aux
courants anarchistes issus des contestations étudiantes occidentales des années
60/70 (en France mai 68) : au point que l'homme le plus riche du monde, Jeff
Bezos, se revendique comme un anarcho-capitaliste ou libertarien, s'opposant à
toute forme de coercition étatique, sauf concernant la protection de la propriété
privée (évidemment !). Militant pour un Etat réduit à un rôle policier et
juridique exclusivement dévolu à la défense de la propriété privée, droit sacré
et inaliénable : tout le reste pouvant être soumis aux dérégulations les plus
sauvages, donc à la Loi
de la jungle, qu'il appelle de ses vœux, Jeff Bezos, pour faire encore plus de
profit.
Macron est donc peut-être un peu plus qu'un libéral-libertaire,
c'est en réalité idéologiquement un libertarien, qui se fout de la douleur des
gens, de leur souffrance notamment au travail, ou qu'ils se fassent tirer comme
des pigeons dans la rue par des fous de dieu. Macron est la dernière pièce du puzzle,
l'épiphanie destinée à dévoiler l'essence du projet libéral affublé de son
désormais corollaire libertaire (visible notamment à travers la propagande ou
matraquage publicitaire), dans toute son horreur libertarienne : qui nous
promet comme résultat final, un monde à la Mad Max au sens propre.
Car l'idéologie de la croissance, qui postule une croissance
économique exponentielle et infinie, dans un monde fini, est un oxymoron. Le
tout sur fond de répressions et de violences policières qui ne pourront aller
que crescendo face aux contestations du système. Elles-mêmes devant la violence
subie économiquement et socialement, rendues plus virulentes dans leurs modes
d'action.
On vit dans une oligarchie qui trouve ses racines idéologiques dans le libéralisme tel qu'élaboré et théorisé par Adam Smith, et qui a trouvé sa pleine effectuation dans le tournant des années 80 sous l'impulsion de Thatcher et de Reagan... Mitterrand fut l'habituel « Français de service », c'est pratiquement la même chose de dire COLLABO ; à croire que tout Français au pouvoir depuis 1940 et par mimétisme tout Français moyen est par définition et ontologiquement dans la soumission vis-à-vis de l'idéologie dominante, si l'on fait exception de la parenthèse que constitua de Gaulle. On peut appeler cela grandeur (comme le comportement de Macron, défini par les observateurs comme le président des riches et même des très riches), j'appelle cela mesquinerie, lâcheté, veulerie par rapport à ce qui semble plus puissant que nous : l'idéologie anglo-saxonne représentée depuis le XVIIIème siècle par le libéralisme (théorisé par Adam Smith : la loi du profit) qui finalement aura eu raison de l'esprit français (l'esprit des Lumières de Diderot, Rousseau et Voltaire), au terme d'un conflit qui trouve son origine au moyen âge dans la rivalité entrela
France et l'Angleterre pour l'hégémonie européenne. Collabo,
Français ou MACHIAVÉLIQUE, à croire que tous ces termes sont désormais
pratiquement synonymes... Le libéralisme même libertaire ce n'est pas les
Lumières, c'est la soumission à la
Loi du profit et au formatage « esthétique » imposé commercialement par l'industrie du
divertissement hollywoodienne : tout cela est effectivement machiavélique,
comme un genre de complot élaboré par une toute petite oligarchie, qui
"pense" pour les masses, mais chut il ne faut pas le dire ! Sinon vous
seriez assimilé à un vulgaire complotiste, tant combattu par la doxa dominante.
On vit dans une oligarchie qui trouve ses racines idéologiques dans le libéralisme tel qu'élaboré et théorisé par Adam Smith, et qui a trouvé sa pleine effectuation dans le tournant des années 80 sous l'impulsion de Thatcher et de Reagan... Mitterrand fut l'habituel « Français de service », c'est pratiquement la même chose de dire COLLABO ; à croire que tout Français au pouvoir depuis 1940 et par mimétisme tout Français moyen est par définition et ontologiquement dans la soumission vis-à-vis de l'idéologie dominante, si l'on fait exception de la parenthèse que constitua de Gaulle. On peut appeler cela grandeur (comme le comportement de Macron, défini par les observateurs comme le président des riches et même des très riches), j'appelle cela mesquinerie, lâcheté, veulerie par rapport à ce qui semble plus puissant que nous : l'idéologie anglo-saxonne représentée depuis le XVIIIème siècle par le libéralisme (théorisé par Adam Smith : la loi du profit) qui finalement aura eu raison de l'esprit français (l'esprit des Lumières de Diderot, Rousseau et Voltaire), au terme d'un conflit qui trouve son origine au moyen âge dans la rivalité entre
Remarquable article !
RépondreSupprimerBien dit !
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