Le doux, le caché, le
ravissement avec des mains baladeuses, cela me fait penser à un organe féminin
que la pudeur m’empêche de nommer…
Il y a en réalité deux
options, soit on considère que l’« Homme est un loup pour l'Homme » et on
débouche sur le libéralisme donc le nihilisme et la décadence, soit on
considère que l'Homme est un « animal social » tout simplement, et on débouche
sur une société socialiste et le partage des richesses et la véritable
démocratie sans manipulation donc sans complotisme, c'est tout bête, il fallait
y penser !
Ce que seuls les
Grecs à ma connaissance ont su réaliser, le reste est une parodie de démocratie
représentative, alors que la démocratie est par essence participative etc.
Certes les femmes auraient dû être mieux représentées et pouvoir participer
aussi, mais en ont-elles réellement les capacités et surtout l'envie ? Les
Grecs semblaient en douter ! Mais c’est à elles de le prouver si elles désirent
orienter la société vers plus de justice sociale, et laisser un peu de côté
leurs droits sociétaux purement individuels.
Le féminisme
outrancier, ces femmes qui ne savent plus tenir leur place, la GPA et la PMA
sont l'ultime symptôme de notre décadence irréversible...
Sinon je sais bien
que redistribution et partage des richesses sont des gros mots.
On peut bien
favoriser toute la libération des mœurs que l'on voudra, l'obtention de
nouveaux droits sociétaux en veux-tu en voilà, mettre les femmes en concurrence
avec les hommes dans tous les secteurs de l’existence jusque dans les sports
réputés virils, du moment que cette nouvelle forme d'individualisme et
d'atomisation des droits que favorise le libéralisme culturel et politique,
rejoigne la forme d'atomisation des travailleurs induite par le libéralisme économique. Et en même temps on
détricote inexorablement le tissu social et le droit du travail, on perd tous
les jours des droits sociaux sous ce doux euphémisme de « réforme »
indispensable (parce que le libéralisme de Macron sous-entend qu'il n'y a pas
d'alternative et pas de société, comme celui de Thatcher !), on perd tous les
acquis de la génération de mai 68, les baby boomers, qui en réalité
eux seuls parce qu'ils étaient en position de force sur le plan démographique
notamment ont su tirer leur épingle du jeu ; droits sociaux acquis dans la
lutte et qui assuraient une véritable redistribution des richesses,
pourtant à un assez modeste niveau si l'on considère la fortune faramineuse des
milliardaires dont la richesse ne cesse de croître de façon exponentielle
surtout depuis le début des années 80, à mesure que la misère explose dans les
classes populaires et que les classes moyennes se délitent à tous les niveaux
notamment moral, préfigurant leur déclassement social inexorable.
On peut bien gagner
tous les droits sociétaux que l'on voudra, c'est un peu la brioche dont parlait
Marie-Antoinette, quand les gens, eux, réclament du pain et surtout de la
visibilité et de la reconnaissance sociale : ce que n'assure pas une «
démocratie » représentative telle que la nôtre, où les dés semblent pipés dès
le départ, les conditions de l'élection douteuses et instrumentalisées, et ne
permettent dès le départ aucune représentation populaire et ensuite aucune
expression de ce même peuple ; ce qui explique un mouvement comme celui des
gilets jaunes qui n'est que le fonctionnement salvateur et sain d'une soupape
de sureté quand la marmite menace d'exploser.
"Je sais bien que redistribution et partage des richesses sont des gros mots" employés par ceux qui veulent récupérer le travail des autres sans faire grand chose ! C'est ainsi depuis si longtemps et ceux qui arrivent au pouvoir en utilisant ses gros mots démagogiques ne font qu' appauvrir les peuples et en plus les faire vivre dans l'arbitraire et le manque total de liberté !!! Les idéologies universalistes nous mènent toujours aux même catastrophes ... Mais certains reviennent toujours avec ses belles croyances...
RépondreSupprimerPlus on monte haut dans la hiérarchie sociale, moins on travaille, plus on s'amuse avec le sexe et l'argent qui vient du travail des autres.
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