mardi 11 novembre 2014

Le dogme

On a fait de la deuxième guerre mondiale et plus particulièrement de la Shoah, un dogme qui occulte tout le reste, un dogme qui définit les valeurs du bien et du mal, et dont tu as choisi par ta profession et ton engagement d'être le gardien, il n'y a certainement pas de tâche plus noble. Mais attention à ce que l'idole, ne se renverse pas sur ses adorateurs. Personnellement je ne m'en cache pas je préférerais que ce soit les vieilles valeurs du catholicisme qui nous gouvernent, mais la société et les événements en ont décidé autrement, je crois qu'une des explications de la crise profonde qui ravage aujourd'hui la France, se trouve là. La parole libre est devenu tabou, et des personnes qui parlent plus librement comme Zemmour, Finkielkraut ou Emmanuel Todd, sont décrédibilisées par la doxa officielle "antiraciste", "tolérante", libertaire et libérale.
Si l'on a eu un père difficile comme le mien, on a qu'une seule envie, c'est de déboulonner l'idole, quelle qu'elle soit. C'est aussi une des explication psychologiques que l'on donne de l'œuvre de Zemmour : c'est quelqu'un qui ne s'aime pas CQFD. Dans un monde tolérant antiraciste, libertaire et libéral comme le notre l'on ne peut que s'aimer, bienvenue dans le meilleur des mondes.

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