De toute façon quand des gens arrivent chez vous (et te font sentir que tu n'es pas chez toi mais chez leur courtisane), tout enflés de leur ego et de leur amour-propre, psychanalystes, philosophes, psychiatres, psychologues, écrivains, etc., que vous n'avez que 10 ans, et qu'ils disent à votre mère qu'ils sont des êtres indispensables et ce que l'espèce humaine a fait de plus beau dans toute l'Histoire de l'humanité, qu'ils sont arrivés à s'en persuader et veulent en persuader tous les autres, pour lui suggérer que ce sont eux qui sont dignes d'amour et pas son fils, j'estime qu'il y a un grave problème.
Un problème insoluble dont l'origine a certainement plus de 3000 ans.
C'est une religion qui les pousse à l'orgueil et au mépris de l'autre, voire à la haine pour la moindre frustration de leur égoïsme congénital, et cela depuis les origines de la Torah et non pas seulement du sionisme comme on voudrait nous le faire croire, à l'époque de l'Antiquité où les autres peuples les considéraient, déjà, comme des misanthropes ennemis du genre humain.
Sauf que le problème fondamental est qu'aujourd'hui ils sont en passe de gagner si nous n'y prenons garde. Pendant très longtemps ils n'ont pas eu les moyens de leur ambition, l'hégémonie mondiale, mais il faudrait être bien naïf pour croire qu'ils n'ont pas préparé le terrain depuis bien longtemps déjà, en vue de cet objectif qu'ils ont toujours quelque part dans un coin de leur tête.
Oui car il faut être cohérent, pour un esprit logique être proclamé « peuple élu », parce que des ancêtres ont eu cette lubie de s'autoproclamer ainsi, est forcément un effet qui doit avoir des conséquences. Ce ne sont pas de simples paroles en l'air et c'est marqué noir sur blanc dans la Torah. Quel fabuleux booster pour l'estime de soi, que chaque petit enfant juif reçoit en héritage, pouvant ainsi se dire à lui-même : « je suis par essence supérieur à mes petits camarades goyim, et leur culpabilisation à mon égard, via la laïcité à la française (on pourrait dire à l'européenne), valide ma supériorité intrinsèque, c'est génial ! C'est magique ! ». Pourquoi se priver si tous les goyim conditionnés sont maintenant assez naïfs pour y croire ?
Il n'y a pas de Feujs modérés, il y a seulement des Juifs authentiques, « christianisés » dans le sens où ils sont plus attachés à l'esprit de la Loi (justice, charité, amour, pardon) qu'à sa lettre (application mécanique et déshumanisée des règles du Talmud), qui sont bien obligés de penser contre eux-mêmes et la majorité des membres de leur communauté, parce qu'ils ont bien perçu tous les effets pervers du judaïsme. Un Juif authentique c'est ce que les Feujs appellent un « Juif antisémite », qui ne s'aime pas lui-même, pour le discréditer. Et ces Juifs, comme Simone Weil (à ne pas confondre avec la Simone panthéonisée) et beaucoup d'autres, dont Karl Marx malheureusement instrumentalisé par les judéo-bolchéviques, je les respecte.
Plus généralement avec le concile de Vatican Il, qui a baissé son froc face à l'ultimatum du judaïsme, et la banalisation de cette fausse appellation de « judéo-christianisme », c'est de tous ceux qu'ils appellent des « antisémites », juifs ou non-juifs (quand ils sont chrétiens, agnostiques ou même athées d'origine chrétienne), que les Feujs accusent de haine de soi. Or c'est tout à l'inverse la judaïsation du christianisme à travers cette conception oxymorique de « judéo-christianisme », plutôt que son contraire étant la pacification des mauvais instincts du judaïsme par sa « christianisation », qui constitue la haine de soi : la lettre de la Loi (application mécanique et déshumanisée des règles du Talmud) tend à y remplacer son esprit (justice, charité, amour, pardon).
C'est comme si Jésus n'avait jamais existé et que nous étions revenus 2000 ans en arrière !
Je veux pour preuve de tout ce que j'avance des garanties philosophiques et même scientifiques. Car ça me fait penser au grand Sujet dont parle un philosophe comme Dany-Robert Dufour, il désigne une instance symbolique abstraite, inexistante dans le réel mais supposée par les humains pour fonder leur subjectivité et structurer le lien social.
Ça peut faire penser aussi à un mythe fondateur, basé sur des faits réels, mais amplifiés, magnifiés, pour frapper les esprits et heurter les consciences ; ça commence aussi par un S majuscule, comme Sujet, qui ? Qui ? Mais en réalité le grand Sujet n'est pas le mythe fondateur, alors QUI ? QUI ?
Ce concept de grand Sujet découle de la condition néoténique de l'humain, né prématuré contrairement à tous les autres animaux, dépendant du langage pour survivre même sans prédateur biologique naturel. Il est à lui-même son propre prédateur, car on sait bien que de tout temps l'homme est un loup pour l'homme.
Le langage impose une structure trinitaire : "je" (présence à soi), "tu" (interlocuteur) et "il" (tiers absent symbolisé). Sans ce tiers (le grand Sujet), le lien social sombre dans la rivalité destructrice, la rivalité mimétique dont parle aussi René Girard, la Némésis dont parlaient les Grecs. Les humains le construisent donc historiquement pour pallier cette absence, en le réinventant périodiquement quand il devient obsolète ou oppressant
Au fil de l'histoire, le grand Sujet prend diverses formes symboliques, qui fondent les discours collectifs et régulent la soumission des sujets :
* Le Totem (ancêtre ou animal dominant un groupe).
* Les Esprits ou âmes des ancêtres dans le paganisme, breton notamment. Et plus généralement gaulois (qui est aussi un peuple celte), pour l'ensemble des Français qui ont aussi des origines romaines, et germaniques — les Francs.
* Les dieux immanents (comme dans la Grèce antique, intervenant dans la Physis – la nature). Et tous les mythes qui s'y rapportent.
* Le Dieu transcendant des monothéismes (Père absolu, éternel).
* Le Roi dans l'absolutisme (de droit divin, comme sous Louis XIV).
* Le Peuple après la Révolution française (dans la République).
* Des figures politiques modernes comme le Prolétariat (marxisme), la Race (nazisme) ou la Nation.
Évidemment Dany-Robert Dufour se garde bien de citer la Shoah. Pourtant ce serait selon moi plus que pertinent. Peut-être qu'il en a conscience mais estime que c'est imprudent d'en parler pour sa réputation.
On imagine bien qu'en nommant le véritable grand Sujet de notre époque, il ferait aussitôt l'objet d'une campagne de diabolisation.
Donc je dirais aujourd'hui que le grand Sujet est en réalité :
* Le Feuj, dont on a fait une icône, véritable dieux-vivant, et que la Shoah est le mythe fondateur qui s'y rattache ; et je dis bien le mythe.
Ce Feuj en question est une figure symbolique, bien plus fantasmée que réelle. D'où la déception de pas mal de femmes après avoir consommé, et l'impression de s'être faite avoir, en gros s'« être faite mettre bien profond » (au sens péjoratif et figuré du terme, bien entendu, allons mesdames je ne me permettrais pas, à votre égard, tant d'irrespect !).
C'est encore au-delà de l'aristocratie, car Le Feuj est le nom que l'on ne doit pas blasphémer, sous peine de chasse aux sorcières puis d'excommunication.
C'est donc aujourd'hui le Feuj, avec des figures iconiques et intouchables — comme Freud, Einstein, Woody Allen ou Spielberg, considérés comme des génies absolus sans discussion possible (en France nous avons J.-J. Goldman qui est une icône intouchable) —, qui fonde les discours collectifs et régulent la soumission des sujets — avec un s minuscule.
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