vendredi 3 novembre 2017

#balancetatruie


Les femmes ont-elles une âme aujourd'hui ? Beaucoup de femmes jouent aujourd'hui le rôle de la bourgeoise sur le modèle bobo de leurs copines parisiennes ou des grandes métropoles de province, et pour les avoir côtoyées, ce fut sympa jusqu'à ce que les années 80 arrivent, la bourgeoisie a pris alors au pied de la lettre la doctrine d'Adam Smith « vice privé, vertu publique »...

Beaucoup de femmes issues du baby-boom furent comme des paysannes très récemment converties à la bourgeoisie par les bienfaits d'une école qui remplissait alors son rôle émancipateur et d'ascenseur social, mais pourquoi ? Pour que ces femmes appliquent la doctrine cupide de la bourgeoisie de façon brutale et inhumaine à l'égard de leurs enfants qui devinrent les boucs émissaires de leur mode de sexualité dépravé, car reposant pour beaucoup d'entre elles sur l'exploitation sexuelle de jeunes noirs des Caraïbes ou d'Afrique, ce qu'on appelle le tourisme sexuel. Abolissant chez elles toute forme de morale, alors que leurs mères, les grand-mères de leurs enfants, avaient généralement une morale catholique qui étouffait soi-disant leur "épanouissement sexuel", du moins selon les psychologues contemporains, qui balaient d'un revers de main toute forme de spiritualité et considèrent la religion avec mépris, tel leur maître (gourou ?) Freud, qui la considère comme une illusion néfaste et pathogène, génératrice de névroses.

Les enfants de ces femmes sont devenus leurs boucs émissaires, car leur forme de sexualité dépravée chez certaines d'entres elles, de Romaines décadentes, a engendré une forme de sadisme reposant sur le sacrifice d'un tiers. Leurs enfants sont devenus leurs petits Jésus Christ, leurs petits sacrifiés de substitution, elles qui avaient reçu une éducation catholique assez poussée qu'elles ont totalement rejetée à l'âge adulte, elles ne pouvaient pas se passer au fond de Jésus Christ, mais qui revêtit alors une autre fonction que dans la religion catholique, où il était là pour supporter le poids de nos péchés. Dans la sexualité dépravée, le tiers est là pour faire office de Jésus Christ, c'est-à-dire de sacrifié, mais dans le Réel, alors que dans la religion catholique il s'agit d'un sacrifice spirituel et donc virtuel.
Les Romaines décadentes avaient besoin des jeux du cirque comme catharsis à leurs pulsions sadiques, nous sommes revenus 2000 ans en arrière concernant l'état d'esprit de beaucoup de femmes occidentales.

Aujourd'hui la campagne #balancetonporc bat son plein. Dans l'imaginaire collectif les hommes sont forcément les bourreaux, à tout point de vue (pas forcément sexuel), et les femmes forcément les victimes... Quelle caricature ! Je serais favorable au lancement d'une campagne #balancetatruie concernant toutes celles qui pratiquent assidûment le tourisme sexuel, notamment dans les pays anciennement colonisés par l'homme blanc ; aujourd'hui ces pays le sont encore, mais sexuellement par les femmes blanches pas moins que par les hommes blancs (au nom de l'égalité hommes/femmes ?), en recherche de sensations fortes.

Jeunes hommes ou jeunes filles si vous reconnaissez votre mère, votre tante ou votre cousine dans le portrait que je viens de faire, ne le diffusez jamais publiquement, car c'est vous qui seriez condamnés pour diffamation et harcèlement et elle qui aurait comme toujours le beau rôle de la victime (victime, forcément victime comme toute femme) et qui empocherait l'argent de l'amende, en fonction du préjudice moral estimé, exercé sur sa réputation. Et ne pensez pas que c'est parce que votre mère, tante ou cousine, aurait atteint un âge très avancé qu'elle aurait renoncé à son mode de sexualité dépravé, non car quand le pli d'une sexualité dépravée est pris cela dure jusqu'au dernier souffle.

Au nom de l'égalité homme/femme, les femmes blanches réclament le même droit au vice que leurs hommes, mais est-ce à dire qu'elles ont une âme ? Au nom de l'égalité homme/femme, elles n'ont pas plus d'âme que leurs contemporains masculins.





1 commentaire:

  1. La sexualité débridée et effrénée de ta mère peut être un symptôme psychiatrique, par contre elle est loin de représenter toutes les femmes, heureusement. Elle est une bourgeoise dépravée, c'est un fait, mais bien des femmes souffrent de précarité et meurs sous les coups de leurs conjoints, 3 par semaine en France, on est loin alors de la bobo qui s'envoie des petits jeunes dans des pays propices.
    Ce que vit ta mère n'est pas un fait sociétal, Cela stigmatise seulement quelques femmes !
    Je suis tout à fait d'accord avec la campagne "balance ton porc", il ne faut pas inverser les rôles, peu d'hommes portent plainte pour injures et agression sexuelles, on peut les compter sur les doigts d'une main...
    Dans le milieu people, cela fait un peu "je me plains la bouche pleine" sans jeux de mot, mais c'est le haut de l'iceberg de ce que vivent beaucoup de femmes de la France d'en bas ! En moins glamour.
    Si tout ce que tu dis est véridique, ta famille est un trio infernal, dont ton père a voulu s'affranchir en te reniant, n'est ce pas un service qu'il t'a rendu, ils t'ont donné un rôle que tu remplis à la perfection, comment pourrais-tu faire autrement, tu respires cet atmosphère depuis le ventre maternelle, c'était le lait de ton biberon.
    Tu as une relation pathogène et mortifère à ta mère très puissante, dans laquelle tu te complais, car si tu devais la quitter, tu devrais faire face à ta liberté intérieure, et c'est vertigineux de vide et de néant quand on a été comme toi si bien occupé.
    En effet j'avais raison tu es un homme esclave, et la philosophie est bien impuissante pour t'en libérer, comme ces juifs de l'ancien testament.

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