Les femmes ont-elles une âme
aujourd'hui ? Beaucoup de femmes jouent aujourd'hui le rôle de la bourgeoise
sur le modèle bobo de leurs copines parisiennes ou des grandes métropoles de
province, et pour les avoir côtoyées, ce fut sympa jusqu'à ce que les années 80
arrivent, la bourgeoisie a pris alors au pied de la lettre la doctrine d'Adam
Smith « vice privé, vertu publique »...
Beaucoup de femmes issues du
baby-boom furent comme des paysannes très récemment converties à la bourgeoisie
par les bienfaits d'une école qui remplissait alors son rôle émancipateur et
d'ascenseur social, mais pourquoi ? Pour que ces femmes appliquent la doctrine
cupide de la bourgeoisie de façon brutale et inhumaine à l'égard de leurs
enfants qui devinrent les boucs émissaires de leur mode de sexualité dépravé,
car reposant pour beaucoup d'entre elles sur l'exploitation sexuelle de jeunes
noirs des Caraïbes ou d'Afrique, ce qu'on appelle le tourisme sexuel.
Abolissant chez elles toute forme de morale, alors que leurs mères, les grand-mères
de leurs enfants, avaient généralement une morale catholique qui étouffait
soi-disant leur "épanouissement sexuel", du moins selon les
psychologues contemporains, qui balaient d'un revers de main toute forme de
spiritualité et considèrent la religion avec mépris, tel leur maître (gourou ?)
Freud, qui la considère comme une illusion néfaste et pathogène, génératrice de
névroses.
Les enfants de ces femmes sont
devenus leurs boucs émissaires, car leur forme de sexualité dépravée chez
certaines d'entres elles, de Romaines décadentes, a engendré une forme de
sadisme reposant sur le sacrifice d'un tiers. Leurs enfants sont devenus leurs
petits Jésus Christ, leurs petits sacrifiés de substitution, elles qui avaient
reçu une éducation catholique assez poussée qu'elles ont totalement rejetée à
l'âge adulte, elles ne pouvaient pas se passer au fond de Jésus Christ, mais
qui revêtit alors une autre fonction que dans la religion catholique, où il
était là pour supporter le poids de nos péchés. Dans la sexualité dépravée, le
tiers est là pour faire office de Jésus Christ, c'est-à-dire de sacrifié, mais
dans le Réel, alors que dans la religion catholique il s'agit d'un sacrifice
spirituel et donc virtuel.
Les Romaines décadentes avaient besoin des jeux du
cirque comme catharsis à leurs pulsions sadiques, nous sommes revenus
2000 ans en arrière concernant l'état d'esprit de beaucoup de femmes
occidentales.
Aujourd'hui la campagne
#balancetonporc bat son plein. Dans l'imaginaire collectif les hommes sont
forcément les bourreaux, à tout point de vue (pas forcément sexuel), et les
femmes forcément les victimes... Quelle caricature ! Je serais favorable au
lancement d'une campagne #balancetatruie concernant toutes celles qui
pratiquent assidûment le tourisme sexuel, notamment dans les pays anciennement
colonisés par l'homme blanc ; aujourd'hui ces pays le sont encore, mais
sexuellement par les femmes blanches pas moins que par les hommes blancs (au
nom de l'égalité hommes/femmes ?), en recherche de sensations fortes.
Jeunes hommes ou jeunes filles si vous reconnaissez votre mère, votre tante ou votre cousine dans le portrait que je viens de faire, ne le diffusez jamais publiquement, car c'est vous qui seriez condamnés pour diffamation et harcèlement et elle qui aurait comme toujours le beau rôle de la victime (victime, forcément victime comme toute femme) et qui empocherait l'argent de l'amende, en fonction du préjudice moral estimé, exercé sur sa réputation. Et ne pensez pas que c'est parce que votre mère, tante ou cousine, aurait atteint un âge très avancé qu'elle aurait renoncé à son mode de sexualité dépravé, non car quand le pli d'une sexualité dépravée est pris cela dure jusqu'au dernier souffle.
Au nom de l'égalité homme/femme, les femmes blanches réclament le même droit au vice que leurs hommes, mais est-ce à dire qu'elles ont une âme ? Au nom de l'égalité homme/femme, elles n'ont pas plus d'âme que leurs contemporains masculins.
La sexualité débridée et effrénée de ta mère peut être un symptôme psychiatrique, par contre elle est loin de représenter toutes les femmes, heureusement. Elle est une bourgeoise dépravée, c'est un fait, mais bien des femmes souffrent de précarité et meurs sous les coups de leurs conjoints, 3 par semaine en France, on est loin alors de la bobo qui s'envoie des petits jeunes dans des pays propices.
RépondreSupprimerCe que vit ta mère n'est pas un fait sociétal, Cela stigmatise seulement quelques femmes !
Je suis tout à fait d'accord avec la campagne "balance ton porc", il ne faut pas inverser les rôles, peu d'hommes portent plainte pour injures et agression sexuelles, on peut les compter sur les doigts d'une main...
Dans le milieu people, cela fait un peu "je me plains la bouche pleine" sans jeux de mot, mais c'est le haut de l'iceberg de ce que vivent beaucoup de femmes de la France d'en bas ! En moins glamour.
Si tout ce que tu dis est véridique, ta famille est un trio infernal, dont ton père a voulu s'affranchir en te reniant, n'est ce pas un service qu'il t'a rendu, ils t'ont donné un rôle que tu remplis à la perfection, comment pourrais-tu faire autrement, tu respires cet atmosphère depuis le ventre maternelle, c'était le lait de ton biberon.
Tu as une relation pathogène et mortifère à ta mère très puissante, dans laquelle tu te complais, car si tu devais la quitter, tu devrais faire face à ta liberté intérieure, et c'est vertigineux de vide et de néant quand on a été comme toi si bien occupé.
En effet j'avais raison tu es un homme esclave, et la philosophie est bien impuissante pour t'en libérer, comme ces juifs de l'ancien testament.