Les prédateurs, les carnivores l'emportent toujours sur les herbivores
: leçon n°1 du capitalisme... défini ainsi par son premier inspirateur historique,
Mandeville : laissons faire la nature pour combattre la névrose religieuse. Il n'y aura pas d'avant il n'y aura pas d'après, il y aura
continuité de la logique capitaliste, à moins qu'il y ait un effondrement... Ou
encore on peut dire que cette logique constitue une thérapie de la névrose que constitue la
religion... par le vice. Comme si le mal pouvait avoir des vertus
thérapeutiques ! Freud n'a fait que reprendre de vieilles idées déjà développées
par Mandeville et qui fondent la logique capitaliste. Rien à voir avec les juifs, vous lecteurs, vous
faites quelquefois la reconstruction qui vous arrange en m’accusant de complotisme
antisémite. Certains Juifs sont juste venus se greffer sur une logique qui les précède et dont ils n'ont pas le monopole ! Les Juifs globalement sont des êtres qui ont une foi indicible en leur Élection et qui respectent scrupuleusement la Loi pour survivre dans un milieu hostile, et ces deux aptitudes faisaient dire à Nietzsche qu'ils allaient devenir les maîtres et les guides et de l'Europe (cf. Le mépris des Juifs, Sarah Kokman) ; cela les définit mieux que d'en faire des prédateurs, des capitalistes assoiffés d'argent, ou même des communistes avec le couteau entre les dents !
La fin du discours de Macron en hommage à l’esprit de solidarité et d’entraide qui caractérise notre contrat social sonnait un peu Conseil National de la Résistance. Foin de la start-up nation et des premiers de cordée ! Quand souffle la tempête, c’est le peuple qu’il faut retrouver et il faut reconnaître que ce discours visait à aller le chercher. Le problème c’est que ce coup-là Emmanuel Macron l’a fait trop de fois, séduisant avec les mots pour gifler derrière avec les actes.
Je déteste être manipulé, et encore moins par des
pervers narcissiques destructeurs, comme le sont tant de nos contemporains
insignifiants (comme Macron) et surtout la caste des milliardaires qui fait la
pluie et le beau temps en matière économique, donc politique, puisqu’elle est désormais
soumise à l'économie. Et je ne crois pas à la réalité de la théorie du
ruissellement. Cerise sur le gâteau : notre époque est totalement stérile d'un
point de vue spirituel et artistique, l'art contemporain c'est de la daube !
Les classes moyennes des pays occidentaux voient leur niveau de vie fondre
depuis les années 70.
Je ne crois qu'aux logiques de solidarité et de
coopération entre les Hommes, pas aux logiques de sélection et de compétition
mortifères qui reposent sur l'individualisme et l'égoïsme. "L'Homme par
qui le désert croît" disait Nietzsche. Sans coopération et solidarité il
n'y a plus de joie de vivre, la joie de vivre en France est un phénomène
contingent qui a duré des origines de la France à la fin des années 70. Depuis
nous vivons dans l'enfer de la mondialisation, dans un vaste camp de
concentration et d’exploitation de l’Homme par l’Homme à ciel ouvert, avec la
seule logique de l’argent, de la spéculation et de la valeur d’échange au
détriment de l’usage, du patrimoine et des paysages...
L'Histoire est souvent ironique ! Les Français, les contaminés par le Coronavirus, sont en réalité les victimes collatérales du business lucratif français avec la Chine, avec
enrichissement de Hauts Fonctionnaires au pouvoir... en l’occurrence Monsieur
Yves Levy, mari d'Agnès Buzyn, étant le promoteur du laboratoire P4 de Wuhan
(d'où est sorti le Coronavirus tueur) vendu à la Chine par la République
française. Agnès Buzyn a opportunément démissionné de son poste de Ministre de
la Santé au début de la crise sanitaire pour ne pas avoir à être accusée (à
travers son mari) du scandale sanitaire mondial qui va tuer des milliers de
gens dans le monde. Mais l'argent est plus important pour ces gens-là... On
roule carrosse dans cette Haute Fonction publique de la Santé ! C'est en
millions d'€ que sont récompensées ces gigantesques et juteuses signatures de
contrats internationaux... Surtout quand ce mari de l'ex Ministre de la Santé
est lui-même directeur de l'INSERM, que ce genre de laboratoire (aux mains des
Chinois) sert avant tout à créer des virus pathogènes pour leur future guerre
bactériologique. On y est. Les ravages du COVID-19 en France, c'est un peu une
espèce de retour de boomerang dans la tête d'Yves Levy et d’Agnès Buzyn, donc
d'Emmanuel Macron qui faisait alors partie de ce gouvernement... aux
Finances... quand le contrat était géré.
Bien entendu, dans le cas du COVID-19, les
personnes incriminées ne sont pas coupables de la dissémination de ces virus
dans la nature. A tout le moins d’inconséquence dans la fourniture de matériels
à usage militaire à des dictatures dont on connait le peu de cas qu'elles font
de la vie humaine.
Les laboratoire P4 et P5 sont notoirement utilisés
pour faire de l’ingénierie pour la guerre bactériologique et virale. Quant à la
question de créer des virus en laboratoire, bien entendu non, on ne les crée
pas ! Mais on sait parfaitement aujourd'hui les faire muter et les combiner
avec d'autres pour les rendre encore plus pathogènes... D’autant que la Chine
est historiquement le réservoir naturel des virus les plus pathogènes du monde,
que la Peste Bubonique du XIVe comme la Grippe Espagnole de 1918 ont pour
origine l'Empire du Milieu. Enfin, que la pharmacopée mondiale trouve sa source
dans ce pays dantesque n'est évidemment pas le fruit du hasard compte tenu des
maladies qui circulent depuis l'aube des temps humains sur ce territoire à la
taille continentale.
Bon on s'en fout des origines de cette maladie
après tout (très vraisemblablement des laboratoires chinois spécialisés dans la
guerre bactériologique et virale, en lien avec la France d'ailleurs !). Mais ce
qui est ironiquement tragique c'est que c'était sans doute pour se faire un peu plus de fric de
la part d'oligarques français, dont le propre mari d'Agnès Buzyn, jouant aux apprentis sorciers en faisant du business lucratif avec la Chine, risquant de provoquer une crise financière majeure qui va faire perdre des
milliers de milliards à ces mêmes oligarques dans le court terme. Dans le long terme c'est encore le peuple qui va payer la crise.
Évidemment il ne faut pas croire un mot du discours
de Macron, quand il dit qu'il en tirera toutes les conséquences sur le système
(sous-entendue, une critique sévère de la mondialisation). Le système s'en remettra sans
doute encore une fois, car le capitalisme comme les virus, sait muter et innover pour ne pas disparaître (c'est là son génie !), et Macron ne le remettra jamais en cause d'un iota, jamais ! Il fera
payer comme d'habitude aux classes moyennes et aux plus pauvres les pots
cassés, et ils seront bien cassés cette fois-ci ! Alors l'addition sera très salée. Pendant ce temps-là certains milliardaires vont même s'enrichir avec le commerce en
ligne comme Amazon, et profiter de la crise.
Comme en 2008, cette crise ne profitant qu'aux très riches (qui sont décisionnaires et manipulent le vote des
électeurs et les choix des gouvernants) pour s'enrichir encore plus, permettra des restructurations drastiques et des réformes contre le peuple, en réalité
une purge pour ce dernier !
Ça a toujours été comme ça depuis 1929 et sans
doute bien avant, depuis l'élaboration théorique d’un tel système par Mandeville et Adam
Smith, qui ne se doutaient sans doute pas ayant une telle postérité
en faisant triompher le machiavélisme et la cupidité dans le domaine économique, et ce n'est pas
prêt de changer...
Après il est probable qu'il ne s'agisse que d'un
simple accident de laboratoire, sans aucune intentionnalité malfaisante ! L’intentionnalité
malfaisante n’est pas chez Macron ou Buzyn, elle n’est même pas chez les prédateurs économiques qui dirigent le monde, elle est dans l’essence de la technique qui a
sa propre intentionnalité. Et cette intentionnalité est d’essence totalitaire.
Le nihilisme n'est pas
seulement dans l'œuvre métaphysique des philosophes comme le dénonce Nietzsche
dans sa critique des arrières-mondes, mais aussi dans la volonté de puissance
de nos contemporains et dans la marchandisation du monde, que met en lumière
Heidegger. Ses errements nazis, dont on voudrait faire que le fondement soit une
métaphysique antisémite pour la discréditer de A à Z, ont été sans doute
largement surévalués par ses détracteurs pour le condamner auprès du grand
public, en faisant l'amalgame entre l'œuvre singulière du philosophe et l’idéologie
nazie. Qu’il ait été nazi ne fait aucun doute, pour autant ne faut-il pas
essayer de sauver l’œuvre du plus grand philosophe du XXème siècle ? Comme
pour Polanski c'est l'amalgame qui est désastreux. Mais comment penser
l'essence de la Technique sans Heidegger ? Comment critiquer la mondialisation
et la marchandisation du monde sans Heidegger ? L'œuvre de Polanski
malheureusement a dévié de sa trajectoire initiale et ne consiste plus qu'à
assurer la défense dérisoire et égoïste de son auteur, il me semble…
Ce n’est pas d’être juif que l’on accuse Polanski,
il fait un contresens sans doute volontaire pour assurer sa défense, mais d’être
un homme blanc qui a profité de son pouvoir, de son argent et de sa réputation
pour abuser des petites filles ; et même lorsqu’on est juif on peut s’en
émouvoir !
Pour finir je suis un plouc aux fins fonds de sa
campagne. C'est un choix de vie. Je déteste la boboïtude artificielle de ma
mère par exemple. À propos savez-vous d'où vient le terme "plouc" ?
De ma région ! Le forum du magazine Causeur globalement est fréquenté
par des Juifs de droite nostalgiques des années 80 et de leur hégémonie
culturelle exclusive sur la société française sans rivalité musulmane et qui n'acceptent
pas que cette situation fût forcément provisoire et contingente, et tous ceux
qui sont dans leur sillage, quelquefois par opportunisme. Je sais très bien à
quoi m'y attendre... Le point d'accord que j'ai avec eux est l'inquiétude que
suscite chez moi aussi la montée de l'hégémonie musulmane (qui est aussi
politique par définition, puisque les musulmans mélangent toujours la politique
avec la foi), trouvant finalement plus confortable et éclairée, moins barbare,
l'hégémonie culturelle juive, bien qu'elle ne soit pas elle aussi totalement
inoffensive, dénuée d'arrière-pensées et de vieux comptes à régler avec
l'Occident chrétien.
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