vendredi 13 août 2021

Un patriarcat abusif ?

Marlène Sciappa ne parle que de punir, comme ma génitrice elle n'a que ce mot à la bouche.

Quand toute la société considère à peu près tous les hommes comme des porcs bons à être incarcérés au moindre dérapage, et sans aucune explication possible avec les magistrats, ça ne vous choque pas le moins du monde. Quand la priorité de tous les flics et magistrats de France est la lutte contre les violences faites aux femmes, devant le terrorisme et toutes les autres formes de délinquance, vous trouvez ça tout à fait normal. J'en ai fait l'amère expérience, et j'ai tout perdu, mais peu importe mon cas particulier - même si je trouve son traitement absolument injuste et disproportionné par la Justice sous les ordres de Schiappa. Dès qu'un homme ose dire que finalement les femmes ne valent pas beaucoup mieux que les hommes, et que penser le contraire relève d'un préjugé qui remonte à l'amour courtois ; alors là c'est absolument insupportable aux yeux des femmes, ces "déesses" complètement idéalisées en Occident chrétien contrairement à l'islam, où ces coutumes de toutous bien dressés par leurs femmes et leurs mères, paraissent complètement ridicules et disproportionnées. Il a dû souvent vous arriver de considérer que certains hommes se comportaient comme des porcs (Depardieu, DSK, Weinstein, Polanski, Matzneff...), mais il ne vous est jamais venu à l'idée que des femmes pouvaient se comporter comme des truies ; là aussi j'en ai fait l'amère expérience, avec ma propre génitrice.

Je parle de Schiappa, et je livre mon intuition la concernant : je pense qu'il ne s'agit pas d'une "belle personne", et qu'elle profite de sa situation d'autorité pour émasculer les hommes (volonté de puissance ; Nietzsche). C'est vrai que cela vient de ma propre expérience, ma mère ayant fait exactement la même chose avec moi depuis que je suis tout petit, ce qui a contribué à torpiller mes deux couples, m'a obligé à me séparer de deux femmes que j'aimais, enfin m'a conduit directement 6 mois en prison.

Oui, pour moi c'est comme un trauma, qui malheureusement ne disparaît pas avec le temps, ayant dû causer de graves dommages cérébraux (lire Cyrulnik) ; la résilience est pratiquement impossible quand c'est la mère qui n'a pas apporté de soins et en plus s'est livrée à des sévices sadiques de l'ordre du caprice - c'est aussi pour cela que j'apprécie Schopenhauer et Houellebecq qui ont eu un peu la même expérience avec leurs mères respectives. Mais je peux comprendre que votre expérience de vie soit totalement différente, je peux comprendre les femmes ayant été victimes d'un patriarcat abusif.

Je sais aussi qu'une fois dans ma vie, une femme extrêmement intelligente, grâce à la relation que j'avais eu avec elle, m'avait permis de sortir de cet engrenage mortifère que constitue la relation avec ma mère ; il s'agissait d'Élisabeth de Fontenay. Mais par bêtise et inconscience j'avais tout foutu en l'air.


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