Le poète philosophe : « Ouf !
Bravo ! Belle récitation ! J’ai beaucoup aimé Hawking et le réchauffement
climatique ! Vous avez quand même oublié les rendements décroissants, ce n’est
pas très sérieux.
Sinon, je vous mets un B+, encore un effort et vous allez atteindre la perfection du psittacisme anti-libéral, maintenant essayez l’antithèse : démontrez en termes ronflants et éculés que le libéralisme est l’avenir de l’humanité. »
Sinon, je vous mets un B+, encore un effort et vous allez atteindre la perfection du psittacisme anti-libéral, maintenant essayez l’antithèse : démontrez en termes ronflants et éculés que le libéralisme est l’avenir de l’humanité. »
Moi : « Vous voulez la synthèse
en même temps ? »
Le poète philosophe : « Oui, ce
serait bien, et n’oubliez pas Heidegger et l’autonomie de la technique, c’est
pas mal non plus. »
Moi : « Si vous voulez bien
éclairer ma lanterne sur ce que vous vous en avez compris de l'autonomie de la
technique, on pourrait partager nos impressions... »
Le poète philosophe : « Inutile,
vous avez bien compris qu’il n’est pas question ici de réfléchir mais de
réciter. »
Moi : « De toute façon je croyais
que Heidegger était définitivement hors-jeu, à cause de ses « cahiers noirs »,
non ? Alors pourquoi le citer ? Pour m'attirer dans un piège. Les ficelles sont
trop grosses, désolé ! J'apprécie évidemment ce philosophe, mais les boules
puantes que l'on a lancées sur sa mémoire, en font un pestiféré posthume. »
Le poète philosophe : « Tout le
monde n’est pas Farias ou Faye, et Heidegger pour avoir été une belle crapule
n’en était pas moins un grand philosophe, mais peu importe, si on fait
référence à Nietzsche on peut se permettre Heidegger. »
Moi : « Nietzsche est davantage
poète que philosophe, ou tout du moins les deux en même temps, on peut donc
beaucoup plus lui pardonner qu'à Heidegger. De toute façon vous aurez bien
compris qu'à la limite je préfère Schopenhauer à Nietzsche. Nietzsche est certainement
supérieur à Schopenhauer au niveau de l'interprétation que l'on peut faire de l'absurdité de la vie. Mais pour les interprétations
que l'on a pu faire de Nietzsche, ce dernier est critiquable, car beaucoup plus dangereux, d'ailleurs n'a-t-il pas affirmé qu'il faut vivre dangereusement ? Je crois effectivement qu'Hitler avait lu Nietzsche et qu'il s'en est inspiré pour en
faire une singulière interprétation, tout comme mai 68 en constitue aussi une
interprétation. Nietzsche est sans doute trop riche, trop divin, pour la plupart des médiocres
mortels que nous sommes. »
Le poète philosophe : « Et
Heidegger, ami de René Char, grand poète et grand résistant, ne voyait pas
d’autres issues que la poésie ou un Dieu pour sortir de la crise. »
Moi : « Tenez j'ai apporté une
petite modif à mon long développement psittaciste : Le nouveau dogme a connu un
coup de fouet sous l'ère Thatcher/Reagan et semble être à son apogée (mais il
peut en réalité encore "mieux faire"), c'est-à-dire que son aspect
globalisant/totalisant est en train de séduire et de convertir la planète
entière sous son "emprise" sans aucune autre alternative possible,
plus que sous son "empire" d'ailleurs. Car la séduction qu'il exerce
se fait dans l'intimité de chacun, dans ce que chacun a de plus profond en lui,
et non pas seulement de façon superficielle comme les régimes totalitaires
comme le nazisme ou le stalinisme, contre lesquels on pouvait toujours résister
par les armes ou bien par l'esprit (la vie intérieure). »
Le poète philosophe : « Mais
justement vous tenez là votre antithèse, la technique n’exerce-t-elle pas cette
même fascination ? Le libéralisme est soumis aux mêmes terribles pressions que
les autres idéologies. Comment disait-il déjà ? "la mécanisation de
la Wermacht est un acte métaphysique" (si je me souviens bien) »
Moi : « Fascination ne veut pas
dire adhésion, et j'y résiste de toutes mes (humaines trop humaines)
"forces", conscientes en tout cas. Puisque je sais que je suis dévoré
de l'intérieur par la fascination du progrès technique, comme à peu près tout
le monde, sous peine d'ailleurs de périr. C'est plus une fascination encore
qu'une adaptation à un milieu, car le progrès est séducteur, et nous range sous
son emprise. Comme une drogue il provoque accoutumance et processus de sevrage.
»
Le poète philosophe : « C’est la
drogue du néotène ! C’est notre quête insatiable depuis toujours, l’écriture,
puis la presse, puis Internet, ça s’accélère c’est tout. Bien sûr que nous
adhérons : serions-nous là sinon ? Nous sentons simplement que ça nous échappe
et que de ce fait un danger inédit nous menace. »
Le poète philosophe : « Vous êtes
trop méfiant, mon propos est tout autre. Ce que vous reprochez au libéralisme
est à mon sens hors de propos. On peut toujours trouver en germes toutes les
explications que l’on veut dans dans les origines des idéologies dominantes. Le
romantisme a engendré le nazisme et Hegel le communisme. Ce que vous attribuez
au libéralisme pourrait être attribué à la métaphysique occidentale toute
entière. Ne serait-il pas temps de sortir des anathèmes et réfléchir à ce qui
nous arrive sans chercher des responsables occultes. Attali est bien sûr à
l’abri du besoin mais est-il à l’abri des courants de pensée qui nous dominent
tous.
La volonté de volonté est-elle spécifiquement libérale ? »
La volonté de volonté est-elle spécifiquement libérale ? »
Moi : « Ce que j'apprécie
effectivement c'est d'essayer de remonter toujours le plus haut possible dans
une chaîne de causalité. Après la cause première du bien ou du mal sur terre,
on ne la trouvera jamais, elle est comme une petite source qui depuis bien
longtemps s'est perdue dans les sables d'un vaste désert.
Il y en a qui disent aussi que c'est Hegel qui a engendré le nazisme (à cause de sa pensée dialectique de l'histoire), et je verrais plus Marx à l'origine du communisme, même si la pensée de Hegel fut à l'origine de celle de Marx, c'est exact. Mais un messianisme d'origine judéo-chrétienne peut aussi être à l'origine du messianisme communiste, et la pensée judéo-chrétienne (j'appelle pensée judéo-chrétienne l'alliance du nouveau et de l'ancien testament, même si on l'a vu par l'expérience, judaïsme et christianisme sont rarement compatibles, c'est-à-dire conciliables, et aujourd'hui réconciliables) peut aussi être à l'origine de toute la métaphysique occidentale. Qu'est-ce qui alors est à l'origine de la pensée judéo-chrétienne ? Et s'agit-il d'une pensée ou d'une croyance ? »
Il y en a qui disent aussi que c'est Hegel qui a engendré le nazisme (à cause de sa pensée dialectique de l'histoire), et je verrais plus Marx à l'origine du communisme, même si la pensée de Hegel fut à l'origine de celle de Marx, c'est exact. Mais un messianisme d'origine judéo-chrétienne peut aussi être à l'origine du messianisme communiste, et la pensée judéo-chrétienne (j'appelle pensée judéo-chrétienne l'alliance du nouveau et de l'ancien testament, même si on l'a vu par l'expérience, judaïsme et christianisme sont rarement compatibles, c'est-à-dire conciliables, et aujourd'hui réconciliables) peut aussi être à l'origine de toute la métaphysique occidentale. Qu'est-ce qui alors est à l'origine de la pensée judéo-chrétienne ? Et s'agit-il d'une pensée ou d'une croyance ? »
Moi : « Il se trouve qu'en ce
moment nous vivons sous un régime libéral-libertaire totalisant selon moi, car
sans alternative audible en tout cas et possible. Et c'est cela le danger,
cette absence d'alternative, car la démocratie repose sur la pluralité des
partis politiques en matière d'idéologie, l'alternative fournit un espoir à
ceux qui se sentent opprimé par un régime quel qu'il soit. Le fait est
qu'aujourd'hui il n'y a plus qu'une seule idéologie dominante, puisque toutes
les autres sont systématiquement discréditées ; c'est le libéralisme libertaire
Quant il n'y a plus d'alternative politique à un régime, il ne reste que la colère et le désespoir, et l'histoire nous a montré où cela pouvait mener. Les interpétations les plus folles de telle ou telle idéologie peuvent alors avoir libre cours, et c'est alors que s'opère la recherche de bouc-émissaires, et le développement contemporain d'un phénomène comme la pensée complotiste ou théorie du complot.
C'est bien parce que je cherche plus haut dans la chaîne des causes une éventuelle responsabilité, que vous ne pouvez pas me réduire à quelqu'un qui formule des anathèmes et qui ne réfléchit pas à ce qui nous arrive en cherchant des responsables occultes
Attali surfe sur une vague dont il n'est aucunement l'initiateur, mais c'est vrai aussi que depuis les années 80, il joue un rôle prépondérant en matière de communication et de stratégie, dans l'élection de certains présidents. On dit même que c'est lui qui aurait choisi Macron, ou bien Minc, alors que le jeune homme ne se destinait nullement au métier de président. »
Quant il n'y a plus d'alternative politique à un régime, il ne reste que la colère et le désespoir, et l'histoire nous a montré où cela pouvait mener. Les interpétations les plus folles de telle ou telle idéologie peuvent alors avoir libre cours, et c'est alors que s'opère la recherche de bouc-émissaires, et le développement contemporain d'un phénomène comme la pensée complotiste ou théorie du complot.
C'est bien parce que je cherche plus haut dans la chaîne des causes une éventuelle responsabilité, que vous ne pouvez pas me réduire à quelqu'un qui formule des anathèmes et qui ne réfléchit pas à ce qui nous arrive en cherchant des responsables occultes
Attali surfe sur une vague dont il n'est aucunement l'initiateur, mais c'est vrai aussi que depuis les années 80, il joue un rôle prépondérant en matière de communication et de stratégie, dans l'élection de certains présidents. On dit même que c'est lui qui aurait choisi Macron, ou bien Minc, alors que le jeune homme ne se destinait nullement au métier de président. »
Moi : « Houellebecq aussi ne voit
qu'un Dieu pour sortir de la crise. Mais qui dit Dieu dit religion et on repart
dans la même chaîne de causalité avec tous ses massacres liés à l'intolérance.
C'est pour cela qu'il vaut mieux faire confiance au passé et aux religions déjà
existantes et qui ont fait leur preuves (en bien ou en mal d'ailleurs), la
connaissance du passé et non pas son abandon pur et simple au nom du
progressisme et du politiquement correct, peut structurer les nouvelles
générations sur l'expérience des ancêtres ("l'humanité est faite de plus
de morts que de vivants"), plutôt que sur un avenir incertain qui fait fi
de tout passé et de tout héritage.
Et je dirais même plus, dans le
grand sac où je range pêle-mêle les "responsables" de la crise, et là
je me rapproche pour moi, dans ce qui est de l’ordre de mon vécu de l'origine
de la "crise" (mon "expérience intérieure" de la crise
comme la qualifie Bataille) ; disons qu'il y a mes parents, les amis de mes
parents et leurs amis, et les amis des amis de leurs amis etc.
Bref presque tout le petit microcosme bobo parisien baby-boomer, et maintenant leurs enfants, mais ces derniers sont incapables de s'entendre et se font la guerre, faute d'une morale commune. Faute d'une spiritualité ou vie intérieure commune. Il y a bien quelques petits malins qui croient faire l'unanimité et qui pensent qu'ils vont s'en sortir comme ça, sur le culte de leur personnalité à l'égard de leur entourage. Mais personnellement je n'y crois pas trop, aux leaders grandes gueules, qui aujourd'hui font un peu la loi partout de la famille au monde du travail et jusque dans la politique. En l'absence de vie intérieure commune, c'est-à-dire en l'absence de spiritualité en commun, l'avenir de la France c'est l'islam, si nous n'y prenons pas garde... »
Bref presque tout le petit microcosme bobo parisien baby-boomer, et maintenant leurs enfants, mais ces derniers sont incapables de s'entendre et se font la guerre, faute d'une morale commune. Faute d'une spiritualité ou vie intérieure commune. Il y a bien quelques petits malins qui croient faire l'unanimité et qui pensent qu'ils vont s'en sortir comme ça, sur le culte de leur personnalité à l'égard de leur entourage. Mais personnellement je n'y crois pas trop, aux leaders grandes gueules, qui aujourd'hui font un peu la loi partout de la famille au monde du travail et jusque dans la politique. En l'absence de vie intérieure commune, c'est-à-dire en l'absence de spiritualité en commun, l'avenir de la France c'est l'islam, si nous n'y prenons pas garde... »
La prof : « Je ne connais pas ce
genre de microcosme en général et parisien en particulier. Quant à
l'épouvantail islam, je pense que notre pays a assez de ressources
intellectuelles et matérielles pour ne pas tomber dans la
"soumission". Les enclaves islamistes peuvent être neutralisées, en
premier lieu par l'éducation si l'état y met les moyens nécessaires. Cela
arrivera fatalement quand les Français commenceront à exprimer leur raz-le-bol
de façon plus pressante en espérant de ne pas tomber dans une violence stérile.
»
Le poète philosophe : « Oui, bien sûr, le monde occidental
traverse une crise profonde, mais dire que cette crise est due au libéralisme
est dangereusement réducteur. On a l’impression de se retrouver deux siècles en
arrière avec les mêmes arguments des romantiques contre les Lumières : vous
apportez la division, l’appartenance à un peuple n’est pas de même nature que
l’appartenance à un club, etc. Pour ce qui est de l’anathème, pardon, mais
invoquer le réchauffement climatique et les données bidonnées du GIEC, ça se
pose un peu là. Ce n’est de toute façon pas le libéralisme qui est en cause
mais notre nature profonde : nous transformons notre environnement depuis
toujours. Ce n’est pas moi qui vous réduit à quoi que ce soit, mais bien plutôt
les stéréotypes que vous avez employé. Nous savons tous qu’il y aura toujours
des gens avides, mais est-ce bien le fond du problème ? À utiliser sans cesse
ce terme de libéralisme à toutes les sauces nous ne savons plus de quoi nous
parlons. Quant à la rage impuissante, elle ne vient pas tant du fait qu’il n’y
ait pas d’alternative idéologique que du nihilisme pur et simple. C’est de
spiritualité que nous manquons, pas d’alternatives politiques. Le plus grand
mouvement romantique en Occident, c’est effectivement le jihadisme, cela devrait
nous interpeller(comme on dit). La chaîne des causes est sans fin, c’est une
aporie connue, et c’est justement le vertige qui nous prend quand nous la
considérons qui est notre véritable problème, nous qui ne considérons que la
raison.
Est-ce vraiment en abattant le libéralisme que nous allons surmonter cette crise ? »
Est-ce vraiment en abattant le libéralisme que nous allons surmonter cette crise ? »
Moi : « Oui j'ai les mêmes
arguments que les romantiques car mes ancêtres ont réellement été persécutés
par les bleus, les sans-culottes, les révolutionnaires ; et que le mouvement
romantique puise peut-être certaines de ses racines en Bretagne. Cela a
provoqué un traumatisme dans ma famille, qui par un déni profond et totalement
inconscient et injuste de la part de ma génitrice (qui a pris fait et cause
pour la bourgeoisie de façon quasi fanatique et surtout totalement inconsciente
dans tous les sens du terme), a provoqué le rejet de son traumatisme sur la
génération d'après pour s'en prémunir, remontant ainsi jusqu'à moi (le
traumatisme). Voilà pour l' « expérience intérieure » et la psychanalyse. Il
s'agit de sa part de quelque chose comme le syndrome de Stockholm : elle a pris
le parti de ceux qui l'ont pris en otage et lui ont fait oublier que leurs
ancêtres avaient massacré les siens. Je ne développerai pas plus avant, vous
avez bien compris la teneur du problème. Mais vous allez me dire que mon argument auto-justificatif est lui-même empreint de romantisme !
Pour ce qui est de rejeter la
responsabilité du développement des techno-sciences qui nous aliènent en même
temps qu'elles nous fascinent, sur le libéralisme... oui peut-être que
j’exagère. La technique est protéiforme, et elle a pris le masque du
libéralisme comme elle aurait pu prendre un autre masque, celui du communisme
par exemple. Je veux bien que ce soit par la spiritualité que l'on puisse le
mieux s'opposer à la « volonté de volonté », j'adhère à cette idée. Mais
comment comptez vous vous y prendre et que proposez-vous ? Une réconciliation
des juifs et des chrétiens pour faire la peau des islamistes qui menacent notre
belle civilisation ? »
Le poète philosophe : « Je n’en sais rien malheureusement,
je fais comme vous je demande à ceux que je rencontre. Ce qui est encourageant,
c’est que d’une façon ou d’une autre de plus en plus de gens se posent la question.
»
Le militant de la « France
insoumise » : « Moi aussi j'aimerais réagir à votre dernier billet. Il n'y a
pas de judéité dans la culture française. L'impact des juifs est anecdotique.
La culture française est sur des bases chrétiennes. Point. Les religions sont soit l'outil du pouvoir, soit le pouvoir. Avec l'évolution sociale, l'instruction et la culture, en Europe, tout du moins en France, de moins en moins de gens croient à leurs balivernes. Ayant moins de "fidèles", elles ont perdu pas mal de pouvoir.
Même si l'arrivée de l'islam donne un coup de fouet aux 2 autres. Mais c'est passager. Reagan et Tchatcher était des pratiquants et c'est au nom de leur religion qu'ils appliquaient un libéralisme sordide. Les religions ont un discours qui ne correspond pas aux actions de la nuée d'hypocrites et de parasites qui vivent sur la bête. Tout bon chrétien devrait être un partisan de la "vraie" gauche. Alors que dans les faits....
L'ultralibéralisme n'est que la continuité de l'hypocrisie des religions. Quant à Hawkin, ce pauvre fou croit, dur comme fer, aux extraterrestres dont il envisage sérieusement l'arrivée imminente car il espère que leur technologie permettra de le guérir..... Pathétique en fait. Alors, ses divagations sur l'avenir de l'humanité et de la planète n'ont pas plus de poids que celles de n'importe qui !
Plus précisément, n'importe qui ne dirait pas des âneries comme les siennes car en prenant l’hypothèse que l'accroissement de la démographie serait linéaire et équivalente à celle de ces 50 dernières années, dans 600 ans, la terre porterait 60 milliards d'humains. »
La culture française est sur des bases chrétiennes. Point. Les religions sont soit l'outil du pouvoir, soit le pouvoir. Avec l'évolution sociale, l'instruction et la culture, en Europe, tout du moins en France, de moins en moins de gens croient à leurs balivernes. Ayant moins de "fidèles", elles ont perdu pas mal de pouvoir.
Même si l'arrivée de l'islam donne un coup de fouet aux 2 autres. Mais c'est passager. Reagan et Tchatcher était des pratiquants et c'est au nom de leur religion qu'ils appliquaient un libéralisme sordide. Les religions ont un discours qui ne correspond pas aux actions de la nuée d'hypocrites et de parasites qui vivent sur la bête. Tout bon chrétien devrait être un partisan de la "vraie" gauche. Alors que dans les faits....
L'ultralibéralisme n'est que la continuité de l'hypocrisie des religions. Quant à Hawkin, ce pauvre fou croit, dur comme fer, aux extraterrestres dont il envisage sérieusement l'arrivée imminente car il espère que leur technologie permettra de le guérir..... Pathétique en fait. Alors, ses divagations sur l'avenir de l'humanité et de la planète n'ont pas plus de poids que celles de n'importe qui !
Plus précisément, n'importe qui ne dirait pas des âneries comme les siennes car en prenant l’hypothèse que l'accroissement de la démographie serait linéaire et équivalente à celle de ces 50 dernières années, dans 600 ans, la terre porterait 60 milliards d'humains. »
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