Moi : "L'intelligence c'est le milieu (99,5%) pas les gènes du cerveau (0,5%)"
Lui : "Si tu avais croisé mon scout cotorep ce Week-end tu ne
dirais pas des conneries pareilles..."
Moi : "Le milieu toujours le milieu."
Lui : "50/50, la science va dans ce sens, ton
exagération habituelle nuit à tes propos..."
Moi : "Bon on va pas reprendre cette conversation à la
noix où tu fais preuve d'obscurantisme, lis donc Cyrulnik, éthologue,
spécialiste de l'intelligence et de son lien avec la résilience. L'article que
tu m'avait envoyé faisait état d'une variation de 0,5% en fonction de la
qualité génétique du cerveau. Le cerveau et l'intelligence qui en découle n'est pas innée,
elle est acquise."
Lui : "Le cerveau est un processeur de puissance
variable selon les individus, optimisé ou ralenti selon les programmes que la
vie lui soumet...
Tu ne me feras jamais changer d'avis car la variabilité de
l'intelligence que je peux croiser dans la vie n'est pas qu'une question de milieu..."
Moi : "Tu as une vision techno scientifique de l'espèce
humaine, tu te coupes de beaucoup de richesses, c'est dommage. Et en même temps
ce caractère fait que tu es toi-même victime de la volonté propre de la
technique qui te trahira un jour ou l'autre derrière ton dos, on meurt toujours
de ce que l'on a le plus aimé. Je le répète l'homme n'est pas une machine,
et l'homme ne fera jamais aussi bien que la nature, ce péché d'orgueil mènera
l'humanité occidentale à sa perte, pendant que ceux qui ont une identité
inclusive et exclusive comme les musulmans par exemple, peuvent nous soumettre,
et se repaîtront des restes de notre civilisation exsangue et nihiliste."
Lui : "Amen"
Moi : "Quant à ton expérience personnelle elle est
faussée par tes préjugés sur l'intelligence, toutes les études sociologiques
montrent la surdétermination du milieu dans la formation et la construction de
l'individu, sa réussite ou son échec éventuel . Tu es un cas à part, car sans
vouloir t'offenser, les pervers ont toujours une intelligence supérieure à la
moyenne, ce qui n'empêche pas qu'ils sont eux aussi déterminés par le milieu. Or un pervers est souvent attiré par d'autres pervers, et tu as l'impression
que vous faites parti d'une caste de surintelligents, non vous êtes tout
simplement une petite tribu où les individus inclus sont un peu imbus de leur personne, sans vouloir
t'offenser ; et coupés de toute responsabilité envers le reste de la société."
Lui : "Ce que tu peux déblatérer c'est incroyable
!"
Ma petite bande de potes (tous très différents) et moi, nous
sommes une secte de pervers. C'est ça, faut que tu songes aux soins Erwan..."
Moi : "Pervers dans ma bouche n'est pas péjoratif, ni un
jugement moral, évidemment la perversion est répréhensible éthiquement, car la
perversion fait du mal... aux autres. Mais la perversion est aussi ce qui
permet d'accéder à un haut degré d'intelligence. Donc du point de vue du
fonctionnement de la société la perversion peut donner l'illusion de
l'efficacité, mais c'est une vision à court terme. Car pendant que notre
société occidentale minée par la perversion s'effondrera, les musulmans
inclusifs et exclusifs, feront des émules parmi toutes les victimes de la
société de plus en plus nombreuses, et finiront par renverser nos idoles.
Lui : "On les boufferas en méchoui oui..."
Moi : "Je ne fais pas une attaque ad hominem, tu es un
exemple parmi d'autres c'est un fait que les pervers ont de plus en plus
tendance à occuper tous les postes clefs, en l'absence d'une morale commune qui
reconnait aussi d'autres qualités que l'intelligence perverse, comme la
solidarité, le beau, le bien."
Lui : "La solidarité, le beau, le bien dépend de
l'intelligence, ton rapport au pervers est pervers, c'est toi le gros pervers
pour qui tout ne tourne autour de ça et du déclin, j'aimerais pas habiter dans
ta tête..."
Moi : "Tu es un petit cas parmi d'autres, dans beaucoup
de métiers ce sont aussi les pervers qui occupent le haut de l'affiche, au
niveau de leur charisme et de l'influence néfaste qu'ils ont sur le reste
du groupe. C'est comme ça ! c'est un fait que l'on ne peut nier et qui est induit
par un tas de facteurs propres à notre modernité, je ne fais pas de morale, je
me base sur l'observation et l'expérimentation, et en général le résultat des
expériences psychologiques que je mène sur mon entourage me donnent raison
C'est en termes de résultats que je parle, je ne donne pas cher de la peau
d'une société ou morale, solidarité, bonté, beauté, bien, ne veulent plus rien
dire."
Lui : "Bien sûr que si, l'"alter"(?) s'est
emparé de ces valeurs, elles sont toujours présentes, encore faut-il ne pas
être aveuglé par la peur du déclin pour les voir..."
Et concernant ma supposée perversité, qui selon toi s'exprime
particulièrement au boulot, j'ai toujours refusé d'évoluer vers le management
car je considère ça comme pervers, préférant rester un bon technicien qui fait
chier personne et que personne ne fait chier. Ton obsession pour la perversité
te brouille les sens, je maintiens que vivre dans ta tête doit être d'une
tristesse à mourir..."
Moi : "Je ne t'ai jamais connu porté sur le beau, le
bien, la morale, la solidarité, mais tu as peut-être changé. Vu ta photo de
profil de facebook, j'en doute, elle est très révélatrice, tu affiches la
couleur d'entrée de jeu. Tu n'as aucune foi en l'éducation, en la formation, tu
crois que l'intelligence est un donné, et tu te reposes sur tes lauriers, alors
que l'intelligence est un acquis, acquis de toutes les merveilles de notre
civilisation, dont tu te refuses l'accès par paresse intellectuelle, et préjugé techno-scientifique sur l'intelligence."
Lui : "Tu confonds intelligence et culture d'une part
et finalement tu ne me connais pas du tout et c'est peut être pas si mal.
Tu préfères tes fantasmes sur les autres à leur réalité car cela
t'arrange dans ta caboche de psychopathe..."
Moi : "Je sais que pour toi l'intelligence n'a rien à
voir avec la culture, comme tu te trompes, la culture c'est l'humanité, et sans
humanité, l'intelligence est stérile. Tu méprises la culture en bon pervers,
comme mon père (cf mon blog Robert Blesbois dit "bob")
Lui : "T'es vraiment un malade, l'intelligence est le
processeur, le logiciel est la culture, quand un processeur d'exception
rencontre un logiciel d'exception (amour, culture) ça fait des miracles... Et
bien sûr que j'aime la culture
Tu as une agressivité intellectuelle que peut de personnes
peuvent supporter, ceci explique sûrement tes problèmes avec "le
groupe", mais ce qui est flagrant c'est que ce n'est jamais de ta faute..."
Moi : "Tu parles déjà comme si on était des machines, on
atteint le point où tes fantasmes sexuels rencontrent ta réalité psychique, ton inconscient remonte parfois à ta conscience et s'impose à elle, tu n'as pas tant que ça de surmoi.
Pour ce qui est de ma faute, si elle est flagrante, elle consiste dans une
certain faiblesse, donc à une amoralité, due à la problématique de la
perversion, induite par mes parents sur ma personne. Le milieu, toujours le
milieu !"
Lui : "Blablabla, et boire des coups avec des potes en
parlant de tout de rien, ça te parle ?
C'est toi la machine perdue dans une boucle infinie (énorme
bug en informatique)."
Moi : "Encore une fois je ne fais pas une attaque ad hominem, il n'y a rien de personnel
dans ce que tu qualifies être mon agressivité
intellectuelle."
Lui : "C'est pas le tout de l'affirmer, faudrait que
t'arrêtes de déblatérer sur moi alors que tu ne me connais moi et mes potes que
très peu, et ton obsession est ad hominem..."
Moi : "Les groupes sont généralement exclusifs, surtout
lorsqu'ils sont tribaux et fondent leur cohésion sur le rejet d'un bouc
émissaire, j'ai l'impression de souvent jouer ce rôle pour toi."
Lui : "C'est à la fois prétentieux et totalement bidon
penses tu vraiment que la cohésions de personnes qui ne te connaissent pas se
fait contre toi, ta parano est en train de devenir pathologique, fais gaffe..
Notre cohésion se fait parce que nous nous sommes choisis,
rien de plus, c'est une cohésion pour et non contre..."
Moi : "C'est une cohésion inclusive alors et
non exclusive, basée sur la différence plus que sur l'identité. Oui cela peut
sembler beau dans ton esprit ; mais moi j'y vois une organisation tribale qui annonce
des temps sombres, car énormément de gens aujourd'hui fonctionnent comme toi,
et ne se sentent aucune responsabilité
envers le reste de la société.
Tout ce que je te demande c'est de changer ta photo de
profil de facebook, et de mettre quelque chose de plus positif et de moins
satanique, Satan c'est la perversion faite homme (ou entité à caractère humain)."
Lui : "C'est exactement l'inverse, Satan était un ange
de lumière puni par ce psychopathe de dieu, nul mort à son compteur face aux
millions de morts génocidaires des religions, je maintiendrai mon avatar, il
est suffisamment expressif comme ça...
Ma responsabilité c'est payer mes impôt sans râler, prendre
soin de l'environnement dans la mesure de mes capacités, élever mes enfants
dans une optique ouverte sur le monde et sur les autres, la bande de potes
n'implique pas une coupure avec le monde, reprends la drogue vraiment, tu diras
peut être des choses perspicaces...
50/50, milieu/gènes, le reste c'est de l'idéologie..."
Moi : "Donc tu es de droite tu es du côté de Sarkozy qui surévalue le rôle de la génétique,
et moi du côté d'Onfray qui surévalue le rôle de l'environnement, oh mais tu as raison Sarkozy est certainement plus
intelligent qu' Onfray !"
Lui : "50/50 c'est la réalité scientifique, pas
idéologique, donc ni l'un ni l'autre puisqu'ils se trompent tous les deux, tout
comme toi, qui est un idéologue bizarre avec des influences d'extrême droite et
d'extrême gauche... Chevènementistes..."
Moi : "Je ne nie pas l'existence d'anomalie
génétiques qui handicapent, et empêchent d'accéder à une intelligence normale,
d'avoir un QI dans la moyenne. Mais pour le commun des mortels, normal
génétiquement, il n'y a pas des différences de processeurs énormes comme tu le
penses. Tu as une vision machiniste de l'âme humaine, (comme Descartes
d'ailleurs), et cette vision rejoint ta perversion sexuelle. Que veut dire 50/50, que 50% de
l'intelligence est due à des facteurs génétiques, mais c'est absurde, c'est de
la paresse intellectuelle, tu te comportes en aristocrate et idolâtre du QI."
Lui : "Oui, oui Erwan et le Blue brain
project financé à auteur de milliards par l'Europe consistant au reverse ingeenering du cerveau pour en faire une simulation est un conte de fée, c'est ça ? Je ne
me permet pas de critiquer ou très peu dans les domaines que je connais peu,
mais toi ne rien y connaître ne t'empêche pas d'ouvrir ta gueule et d'avoir un
avis tranché..."
Moi : "Et je cite dans un article que tu
m'as envoyé en pièce-jointe pour justifier ta pensée : "Il conviendrait
peut-être de se demander pourquoi, bizarrement, la recherche en génétique
comportementale sur la variabilité commune des dispositions psychiques qui fait
l’objet d’une communication publique indique presque toujours qu’en gros, tout
est déterminé à peu près à 50% par les gènes et à 50% par l’environnement.
Serait-ce parce que pour faire avaler la pilule d’une certaine part de
déterminisme génétique sans faire trop peur, ce chiffrage a l'avantage de
suggérer que le second facteur serait assez puissant pour compenser le premier
?" Je traduis et interprète ainsi, le second facteur peut totalement compenser le premier, le
réduire à 0, sauf pour les tares génétiques. Effectivement sur ce point là je
suis de gauche ; quand à droite on justifie l'homophobie, et l'on s'est opposé
au mariage gay (car l'homosexualité serait une tare génétique dans l'idéologie
de droite). Et à l'extrême-droite, on a justifié dans les années 40 l 'extermination de
populations soi-disant inférieurs génétiquement. Ton discours est dangereux. Dès
que je te mets face à tes contradiction idéologiques, tu ne réponds plus rien,
tu as une idéologie de droite."
Lui : "Je n'ai pas de "discours" je m'en tiens
aux faits scientifiquement prouvés, concernant le "gène gay", j'ai vu
une émission sur ARTE là-dessus, et les principaux défenseurs et financeurs des
recherches sur le sujet est la communauté gay qui veut prouver aux religieux de
merde américains que l'homosexualité n'est pas un choix... C'est toi qui es
dangereux car tu es un idéologue."
Moi : "Ah donc tu es de ceux qui pensent que l'homosexualité est dû à un gène, c'est absurde et dangereux de penser ça ! Et toi tu fais preuve de dogmatisme
scientifique qui te sert à accréditer une idéologie de droite. Si la science te
disait que tu as un gène te décrétant de te jeter par la fenêtre, tu te jetterais par la fenêtre ?"
Lui : " La science ne dit rien, elle
démontre, rien ne démontrera que je doive sauter par la fenêtre. Cul béni..."
Moi : "Quelquefois il faut un peu réfléchir, comme le
disait MC Solaar : "science sans conscience égale science de l'inconscience."
Lui : " La science est une chose, l'éthique de la
science en est une autre. Les comités d'éthique dans la science sont absolument
nécessaires. La science est amorale."
Moi : "Parfois la science est immorale quand
elle sert à accréditer des exterminations, des tarés génétiques par exemple ; sous le régime d'Hitler."
Lui : " Ce sont les tarés de politiciens qui
sont immoraux, putain Erwan la science est un outil qui n'a pas de volonté
propre..."
Moi : "C'est cela ton erreur fondamentale,
lis donc Heidegger, c'est aussi la limite de ta pensée. Quant à la technique,
elle n'est pas neutre, elle a sa propre volonté propre, et n'est pas seulement un outil, mais une entité, qui nous instrumentalise de plus en plus. La technique au service de la
technique, la science au service de la science, derrière le dos des hommes
"en chair et en os", en l'absence de finalité comme le bien et le bonheur de
l'espèce humaine par exemple. Technique et science sont de plus en plus un peu comme la créature de Frankenstein, la créature est de plus en plus vivante, avec sa volonté propre. Et bientôt, qui sait, cela aboutira à cette fameuse IA, que tu attends de tes vœux, comme un petit garçon qui ne sait que faire de sa propre liberté, et préfère s'en remettre à une entité supérieure représentant son père ou dieu ; l'IA est un fantasme d'origine judéo-chrétienne."
Lui : "Ca c'est de la croyance Erwan, et j'entends parfaitement ce que tu me dis même si j'en rejette 80%..."
Moi :"Ce n'est pas vraiment toi qui parle, c'est l'humanité "moderne" en toi, c'est pour cela que tu m'intéresses.
Lui : "Ca c'est de la croyance Erwan, et j'entends parfaitement ce que tu me dis même si j'en rejette 80%..."
Moi : "Et précisément ce destin est pervers c'est pour
cela qu'il te fascine tant, car toi-même tu le subodores, et cela excite tes
pulsions perverses."
Lui : "Je n'ai aucune perversité Erwan. Elle est
profondément dans ta tête la perversité que tu vois partout, je suis vraiment
triste pour toi...
Ta vision du monde que tu penses extralucide est extra... myope !"
Moi : "Personnellement, je ne suis pas triste pour toi,
car tu es mieux adapté à ce monde que moi. Mais d'un point de vue moral, je suis
un peu amoral, par faiblesse, alors que toi tu es clairement immoral. Je suis
triste pour l'humanité actuelle, qui te ressemble."
Lui : "Amoral c'est de ne pas être sujet à la morale,
immoral est un comportement actif visant, visant je ne sais quoi mais dont les
conséquences sont mauvaise. Donc une fois de plus tu déblatères... Je ne suis
pas immoral, je respecte le faible, j'aide quand je peux. Pffff t'es fatigant
mais paradoxalement je te réponds quand même...
Et je me sens plutôt éloigné de l'immoralité politique,
financière et globalement sociétale et sociale que tu décris, mais je te suis
pour le constat global, sauf que je ne suis absolument pas représentatif de
ça..."
Moi :"Ce n'est pas vraiment toi qui parle, c'est l'humanité "moderne" en toi, c'est pour cela que tu m'intéresses.
Lui : "Oui je suis moderne et non je ne suis ni
immoral, ni pervers. Si ce sont ces traits particuliers de la modernité qui
t'intéressent, change de sujet. Il n'y a pas qu'une seule Modernité !"
Moi : "La modernité est perverse et immorale, cela se
joue à ton insu."
Lui : "Mais oui "monsieur j'ai compris l'univers,
la vie et le reste", suicides toi alors... Il n'y a pas qu'une seule
modernité. Regarde ce qui est moderne pour le Medef, qui est un retour au XIXème
siècle pour le salarié. Parler de la Modernité ne veux rien dire..
Moi : "Mais il reste l'ART."
Lui : "Heu le rapport ?"
Moi : "L'ART pur ne pas se suicider et panser nos inquiétudes."
Lui : " Ah ah! Tu me fais penser à Zemmour dont
je me moque et ce n'est pas un faible, tout comme toi malgré ce que tu veux
faire croire."
Moi : "Ce n'est pas que je ne sois pas faible, c'est que je ne suis plus faible, mais je dois toujours me méfier d'une partie de moi
qui m'a trahi, Robert Blesbois, dit "Bob"(cf mon deuxième blog qui explique les origines de mon caractère)."
Lui: "Les couilles de ton père sont à cinquante ans de toi, ça
ne compte plus, enfin ça devrait être le cas pour un être normalement équilibré, mais nous
avons eu cinquante fois cette discussion."
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